05/08/2012, 13h23
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Je ne sais pas si mon voisin du dessus est colombophile, ou si l'aménagement de son balcons plaît particulièrement aux pigeons. Il y a toujours au moins une demie-douzaine de pigeons accrochés à la rambarde de son balcon, dont les déjections tombent parfois sur la rambarde du mien, mais passons...
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Je n'ai rien contre les pigeons et leurs amis. ![]() La guerre est donc déclarée. J'ai viré les brindilles, et chassé les deux squatters tant qu'ils sont revenus à la charge, ce qui a duré au moins vingt minutes. Ces malotrus se perchent en haut des volets de la porte-fenêtre du balcon, ainsi qu'en haut des volets des chambres qui se trouvent au-dessus. Après avoir fait le grand ménage rendu nécessaire par leur présence importune, que puis-je installer sur mon balcon pour décourager les pigeons d'y revenir à tout jamais ? Je ne veux même plus qu'ils posent une patte sur la rambarde du balcon, de cinq centimètres de large et 7 mètres de long, car Mallow a l'habitude de la parcourir -bien qu'elle se trouve à une dizaine de mètres au-dessus d'un sol goudronneux-, et je ne veux pas qu'il risque une chute d'avoir été tenté de les en chasser. |
07/08/2012, 11h40
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J'ai vu des faux corbeaux sur les balcons de mes voisins, qu'ils ont acheté sur Internet et qui croassent quand le pigeon passe à portée, ce qui les effraie efficacement, si tant est qu'on les change de place de temps en temps, paraît-il. Ça s'achète sur Internet mais je n'ai pas trouvé l'adresse du site marchand. Par contre j'ai trouvé aussi un boîtier électronique sonique et ultrasonique, dans les vingt euros, peut-être moins "encombrant", dont la seule contrainte est qu'il doit être à l'abri de la pluie (compte-tenu de la configuration de mon balcon, ce n'est pas un problème)...
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07/08/2012, 11h58
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Je n'ai rien contre les pigeons en général, mais j'en ai après ceux-ci en particulier. Ils nous polluent.
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Ces animaux transportent des tas de parasites et de microbes qui ne les incommodent pas, mais qui peuvent avoir un effet plus agressif sur mon chat et nous. La résidence où j'habite est très arborée, le voisin du dessus est très complaisant, alors franchement, ils peuvent bien laisser à mon chat la jouissance du balcon, seul endroit où il puisse prendre l'air, tout-de-même ! L'exercice de funambulisme sur la rambarde auquel aime se prêter mon chat pourrait se terminer tragiquement par leur faute. Pigeons urbains pas farouches, un chat qui ne fait que quatre fois leur taille ne les impressionne pas. Surtout que Mallow, quoique entier, ne se distingue pas par son agressivité. Fils de chatte errante, certes, mais né en Octobre, sa mère a préféré se faire héberger avec ses deux chatons dans une maison amie où elle a pu les allaiter et où ils ont été nourris de nourriture pour chats. Sa mère n'a pas eu l'opportunité d'apprendre à chasser à ses chatons. Les Bipèdes de la maison en question n'avaient pas l'intention d'adopter deux chats supplémentaires, d'autant qu'ils en avaient déjà un qui appréciait déjà très peu d'être squatté... |
09/08/2012, 04h28
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Ces volatiles ayant squatté le coin à sieste de mon chat en y amenant des brindilles avec l'intention de nider clandestinement, j'ai vraiment décidé de m'occuper de leur cas quand j'ai réalisé que mon chat -se couchant sur leurs brindilles-, bien que vivant en appartement, n'était donc pas à l'abri de la vermine qu'ils transportent, ce qui pouvait également lui provoquer une allergie.
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Donc, en plus du reste, (cf. "Mon "félinothérapeute" somatise...Quelles plantes soulagent?"), au titre du "principe de précaution", il a eu droit à sa pipette de produit antipuces et antiparasites entre les deux omoplates, même s'il déteste ça. Donc, en plus d'autres nuisances, j'ai des raisons d'en vouloir à ces deux volatiles parce qu'ils m'obligent à dépenser de l'argent pour administrer à mon chat d'appartement un traitement qu'il déteste... ![]() |