Pour le chat comme pour l’Homme, les reins sont des organes vitaux, indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Or, certaines maladies peuvent entraver leur fonctionnement, au point de mettre la vie de l'animal en danger. L’insuffisance rénale en fait partie, et est même l’une des principales causes de mortalité chez les chats.
Comment se manifeste-t-elle ? Existe-t-il des traitements permettant d'en guérir ? Quelle est l'espérance de vie d'un chat avec une insuffisance rénale ? Quelle est l'alimentation adaptée en cas de problème rénal ?
L’insuffisance rénale désigne une diminution plus ou moins importante des fonctions des reins, ce qui les empêche de remplir correctement leur rôle de filtrage et d'élimination des déchets présents dans le sang.
Dans la mesure où les reins sont des organes vitaux, la diminution de leur efficacité a des répercussions assez graves sur l'organisme et peut même conduire au décès.
L'insuffisance rénale existe chez un grand nombre d'animaux, dont l'Homme bien sûr, mais aussi le chien et le chat. Ce dernier est particulièrement touché par cette maladie, car ses reins sont fragiles en comparaison de ceux d'autres espèces. D'ailleurs, les troubles rénaux (dont notamment l'insuffisance rénale) constituent la deuxième cause de décès chez les chats de plus de 5 ans (juste après les accidents), d'après une étude intitulée « Longevity and mortality of cats attending primary care veterinary practices in England » et publiée en 2014 dans le Journal of Feline Medecine and Surgery.
Chez le chat comme chez l'Homme, on distingue deux types d'insuffisance rénale :
Les causes et le traitement ne sont pas les mêmes selon que l'insuffisance rénale est aigüe ou chronique. Toutefois, dans les deux cas, les conséquences sur l'organisme peuvent être très graves.
Il est souvent difficile de connaître l'origine exacte d'une insuffisance rénale chez le chat, car les causes peuvent être multiples.
Les causes de l'insuffisance rénale aigüe chez le chat sont assez variées. On peut toutefois les regrouper en trois catégories distinctes en fonction de l'endroit où se situe la défaillance : les causes pré-rénales, les causes rénales, et les causes post-rénales.
On parle de causes pré-rénales lorsque l'IRA est causée non pas par un dysfonctionnement des reins eux-mêmes, mais par une réduction en amont de la quantité de sang qui leur parvient.
En d'autres termes, les reins du chat sont parfaitement fonctionnels : simplement, faute que le sang à filtrer leur parvienne, ils ne peuvent le débarrasser de ses déchets.
Dans cette catégorie figurent notamment les hémorragies, certaines maladies cardiaques, un choc septique (c'est-à-dire une défaillance circulatoire aigüe causée par une infection) ou encore une déshydratation sévère.
On parle de causes rénales lorsque l'insuffisance rénale aigüe est la conséquence d'un dysfonctionnement brutal des reins eux-mêmes, au point que ces derniers se retrouvent subitement dans l'incapacité de jouer leur rôle de filtre.
Chez le chat, les principales causes rénales d'IRA sont :
Il en existe d'autres, mais celles-ci sont globalement celles que l'on rencontre le plus souvent chez les chats.
On parle de causes post-rénales lorsque le dysfonctionnement prend la forme d'une obstruction des voies urinaires situées en aval des reins (c'est-à-dire les uretères, la vessie ou l'urètre), ce qui empêche ou en tout cas gêne l'élimination par les voies naturelles de l'urine produite.
Chez le chat, les principales causes post-rénales d'IRA sont des calculs rénaux situés au niveau de la vessie ou des voies urinaires, ou une tumeur rénale qui comprime ces canaux et empêche donc le bon écoulement de l'urine.
Comme pour l'IRA, les causes potentielles de l'insuffisance rénale chronique sont assez nombreuses.
Dans les faits, n'importe quel traumatisme ou maladie qui endommage les reins est susceptible d'entraîner à terme une IRC : cela peut être une infection, une néphrite (c'est-à-dire une inflammation des reins), une intoxication à certains poisons (médicaments, métaux lourds...), une tumeur... ou encore une combinaison de plusieurs de ces facteurs. Toutefois, dans la plupart des cas, l'IRC est idiopathique, c'est-à-dire que sa cause initiale n'est pas connue.
L'IRC peut aussi être la conséquence à terme de certaines maladies génétiques, notamment :
L'insuffisance rénale peut toucher n'importe quel chat. Toutefois, on constate tout de même des prédispositions en fonction de l'âge, de la race et du mode de vie.
Même si un chaton ou un chat encore jeune peut lui aussi en être atteint, ce sont essentiellement les chats âgés qui sont touchés par l'insuffisance rénale.
En effet, une étude intitulée « Evaluation of predictors of the development of azotemia in cats » et publiée en 2009 dans le Journal of Veterinary Internal Medicine montrait que 50% des chats atteints d'insuffisance rénale avaient plus de 7 ans. Réciproquement, une étude intitulée « Prevalence and classification of chronic kidney disease in cats randomly selected from four age groups and in cats recruited for degenerative joint disease studies » et publiée en 2013 dans le Journal of Feline Medicine and Surgery arrivait à la conclusion qu'au moins 90% des chats de plus de 15 ans souffraient d'IRC, ce qui est considérable.
L'insuffisance rénale est donc essentiellement présente chez les sujets les plus âgés.
Certaines races de chats sont génétiquement prédisposés à développer une insuffisance rénale chronique, car elles sont davantage sujettes à des maladies comme la polykystose rénale ou l'amyloïdose qui finissent à terme par dégrader les reins.
Parmi les races prédisposées à l'insuffisance rénale, on peut citer notamment le Persan, l'Exotic Shorthair, le British Shorthair, le Maine Coon ou encore le Ragdoll, mais il en existe d'autres.
Toutes choses égales par ailleurs, les chats actifs et ayant un accès à l'extérieur sont prédisposés à l'insuffisance rénale, car ils sont davantage exposés aux accidents, aux maladies et aux empoisonnements que les autres, du fait de leurs vagabondages. On peut citer notamment les individus non stérilisés - en particulier les mâles - qui sont enclins aux fugues et aux bagarres.
Selon les cas, ils peuvent développer une IRA en cas de problème rénal brutal et sévère (par exemple dans le cas d'une intoxication), ou dégrader progressivement leurs reins au point d'un jour finir par souffrir d'une IRC.
Les symptômes de l'insuffisance rénale sont assez variables chez le chat, en fonction de la cause de la maladie et de la forme qu'elle prend.
On observe en général les symptômes suivants :
À défaut de prise en charge, ces symptômes risquent de s’aggraver. En effet, qu'elle soit aigüe ou chronique, l'insuffisance rénale se traduit par une destruction plus ou moins importante des reins, qui ne sont plus en mesure d’assurer leur fonction métabolique. Le sang n'est alors plus correctement débarrassé des déchets qu'il contient : cela provoque une accumulation de toxines dans l’organisme, et donc une dégradation d'autres organes et tissus pouvant aller jusqu’à entraîner la mort.
L'espérance de vie d'un chat avec une insuffisance rénale n'est pas facile à déterminer, car elle dépend de plusieurs facteurs. Les principaux sont :
Dans le cas d'une insuffisance rénale aigüe, la prise en charge doit être immédiate, faute de quoi le décès peut survenir en seulement quelques heures à quelques jours. Néanmoins, si la réaction est suffisamment rapide et permet la guérison avant qu'il y ait eu des dégâts irréversibles sur les organes, l'espérance de vie du chat est alors très proche de celle d'un chat non malade.
Dans le cas d'une insuffisance rénale chronique, tout dépend de ce qui en est à l'origine et de l'efficacité du traitement administré. Si l'atteinte des organes n'est pas encore très importante, et qu'une alimentation très stricte est mise en place, l'espérance de vie du chat peut alors atteindre quelques années. En revanche, si le traitement n'est pas efficace, que l'animal est déjà très vieux et/ou que ses organes sont déjà bien abîmés, son espérance de vie est alors de seulement quelques semaines à quelques mois.
Maladie | Prise en charge | Espérance de vie du chat |
---|---|---|
IR aigüe | Immédiate | Plusieurs années |
Tardive | Quelques jours | |
IR chronique | Efficace | Environ 2 ou 3 ans |
Inefficace | Quelques mois |
Le diagnostic de l'insuffisance rénale se fait en trois étapes :
Autant la première étape est assez simple, autant les deuxième et troisième sont beaucoup plus délicates à réaliser. Elles sont pourtant cruciales pour poser le bon diagnostic et administrer le bon traitement.
La première étape consiste tout d'abord à savoir si le chat malade souffre d'un problème d'origine rénale.
Pour cela, le vétérinaire fonde son diagnostic notamment sur les symptômes présents : certains comme l'augmentation de la soif ou la modification de la quantité d'urines sont en effet assez évocateurs d'une insuffisance rénale, même s'il ne s'agit pas de la seule cause possible.
Pour confirmer le diagnostic, le vétérinaire réalise donc une prise de sang du chat, ainsi qu'une analyse d'urine. Ces deux examens permettent de contrôler le fonctionnement des reins : typiquement, si certains déchets comme la créatinine sont présents en quantité trop élevée dans le sang et trop faible dans les urines, il s'agit vraisemblablement d'une insuffisance rénale.
Faire la différence entre une IR chronique et une IR aigüe est loin d'être aussi évident que ce que l'on pourrait croire. En effet, les reins compensent leur perte d'efficacité et masquent donc en partie la maladie pendant longtemps. Ce n'est qu'une fois qu'ils sont très dégradés que la maladie apparaît brutalement, ce qui oriente à tort vers une IRA.
Le diagnostic doit donc prendre d'autres facteurs en compte que la simple vitesse d'apparition des problèmes rénaux. Les principaux sont les suivants :
Il existe toutefois un grand nombre d'exceptions à ces différentes règles, en fonction de l'avancement de la maladie et de sa cause sous-jacente. Ce n'est donc qu'en considérant l'ensemble de ces critères qu'il est possible de déterminer s'il s'agit d'une insuffisance rénale chronique ou aigüe.
La recherche de la cause sous-jacente de l'insuffisance rénale est cruciale dans le cas d'une forme aigüe, car il existe alors une possibilité de régler le problème et sauver les reins si l'intervention est rapide.
Les examens pouvant être utilisés à cette fin sont variés et dépendent de la cause supposée : une radiographie, une échographie, une biopsie rénale dans le cas où l'on soupçonne une tumeur, une urographie veineuse (pour visualiser avec précision les voies urinaires), etc.
En revanche, dans le cas d'une insuffisance rénale chronique, il est très rare de parvenir à trouver la cause sous-jacente. De toute façon, cela n'a pas forcément grand intérêt, car les atteintes rénales sont irrémédiables : il n'existe donc pas de traitement curatif.
Le traitement de l'insuffisance rénale dépend du type dont il s'agit (aigüe ou chronique). C'est pourquoi il est important de commencer par déterminer dans quel cas on se situe.
L’insuffisance rénale aiguë est une urgence vitale pour le chat : il est donc impératif de la traiter très rapidement.
Le traitement d'une IRA se fait en plusieurs étapes :
Si elle est traitée à temps, le chat peut retrouver un fonctionnement normal de ses reins. Ces derniers resteront toutefois fragiles par la suite, si bien qu’il est fortement conseillé de lui procurer des aliments adaptés (notamment faibles en phosphore et en protéines) et de surveiller l’éventuelle réapparition de symptômes. En particulier, les dégâts rénaux causés par une IRA peuvent à terme provoquer une insuffisance rénale chronique.
Dans le cas d'une insuffisance rénale chronique, les reins du chat sont atteints de manière irréversible : il n'est donc pas possible d'obtenir une guérison, contrairement à une IRA. Le traitement de l'IRC est donc essentiellement symptomatique et vise à compenser les effets de la maladie pour permettre à l'animal de vivre le plus longtemps possible dans de bonnes conditions.
Cela passe par :
Ce traitement évite que l'état de l'animal ne se dégrade trop vite. S'il est mis en place alors que les reins sont encore peu détériorés, il peut donner de bons résultats et aider à le garder en vie pendant plusieurs années. En revanche, si le chat est déjà en mauvais état et/ou si ses reins continuent de se dégrader (par exemple parce que le traitement n'est pas assez efficace ou que la cause sous-jacente de l'IRC est toujours présente), l'accumulation de déchets dans l'organisme peut difficilement être freinée. Se pose alors la question de l'euthanasie, pour éviter à l'animal des souffrances inutiles...
Dans le cas d'une insuffisance rénale qu'il n'est pas possible de guérir et sur laquelle le traitement symptomatique n'a pas vraiment d'effet, une option assez radicale mais efficace consiste à effectuer une greffe de rein. Cette opération permet de remplacer le rein défaillant par un autre fonctionnel, et ainsi faire disparaître l'insuffisance rénale.
Contrairement à ce qui se fait chez l'humain, la greffe de rein est rarement pratiquée chez le chat. En effet, trop peu de vétérinaires sont formés à cette opération complexe, et il n'est pas toujours simple de trouver un donneur compatible avec le chat qui doit recevoir un nouveau rein. En plus de cela, son prix très élevé est souvent rédhibitoire.
Malgré tout, si jamais le chat atteint d'insuffisance rénale est encore jeune, et s'il est possible de pratiquer une greffe, c'est une option à envisager, car elle peut fortement améliorer son état de santé.
L'alimentation à donner à un chat atteint d'insuffisance rénale est très importante. En effet, en fonction de sa composition, elle permet d'apporter tout ce dont l'animal a besoin (nutriments, eau...), tout en ménageant ses reins et en limitant les déchets dans l'organisme.
Elle est utile pour un chat souffrant d'insuffisance rénale chronique, ou qui se remet d'une insuffisance rénale aigüe et dont les reins sont donc fatigués.
L'un des points cruciaux pour limiter les conséquences d'une insuffisance rénale et éviter de fatiguer encore plus les reins consiste à réduire de manière drastique la quantité de phosphore dans l'alimentation du chat.
Le phosphore est, comme d'autres minéraux, un nutriment essentiel pour les vertébrés, car il participe avec le calcium à la formation et à la consolidation des os et des dents, entre autres. En temps normal, c'est le rôle des reins de réguler la quantité de phosphore dans le sang : ils le captent et l'éliminent via l'urine. Or, dans le cas d'une insuffisance rénale, les reins ne sont pas en mesure d'éliminer correctement les excédents, ce qui occasionne à terme des problèmes de santé.
Pour cette raison, il est important d'opter pour des aliments pauvres en phosphore. La difficulté est que ces informations sont très rarement indiquées sur les emballages des aliments industriels pour chat (d'autant que du phosphore est souvent caché dans les additifs et les conservateurs). De plus, la quantité assimilable dépend de la gravité de l'insuffisance rénale. Mieux vaut donc demander conseil à un vétérinaire pour être sûr de faire le bon choix.
Les protéines ont beau être indispensables au bon fonctionnement de l'organisme, elles posent tout de même un problème de taille en cas d'insuffisance rénale : leur décomposition entraîne une production de déchets (notamment l'urée) qui risquent d'épuiser les reins déjà fatigués en les sollicitant trop.
Une option à laquelle on pense assez naturellement pour éviter ce problème consiste à réduire la part de protéines dans l'alimentation du chat, afin de limiter la quantité de déchets produits. Or, il s'agit en réalité d'une fausse bonne idée, car une carence en protéines conduit à toutes sortes de problèmes de santé : fonte musculaire, moins bon renouvellement des tissus, mauvais état de la peau et du pelage, etc. C'est encore plus vrai chez les chatons et les vieux chats, qui ont des besoins accrus en protéines.
La meilleure solution consiste donc non pas à simplement réduire les quantités, mais plutôt à les remplacer par des protéines de meilleure qualité et qui produisent donc moins de déchets dans l'organisme. Pour ce faire, il est recommandé de privilégier les aliments à base de véritables morceaux de volaille ou de poisson à ceux contenant du boeuf, du porc et/ou des sous-produits animaux (pattes, viscères, plumes...). Cela implique généralement d'opter pour des aliments industriels plutôt haut de gamme, voire une alimentation maison à base de viande. Pour faire le bon choix, le mieux est de demander conseil à un vétérinaire.
Pour que les reins du chat puissent fonctionner correctement, il est important que ce dernier boive suffisamment d'eau chaque jour.
Mieux vaut donc privilégier des aliments humides tels que les pâtées ou l'alimentation maison, car ils contiennent une bonne portion d'eau. Si ce n'est pas possible, on peut continuer à lui donner des croquettes, à condition de les humidifier avec de l'eau ou du bouillon de viande avant de servir, pour qu'elles ne soient pas trop sèches.
En parallèle de cela, il faut s'assurer que le chat dispose bien d'un accès constant à une gamelle d'eau propre et fraîche : c'est valable pour tous les petits félins, mais encore plus pour ceux qui souffrent d'insuffisance rénale.
Un chat souffrant d’insuffisance rénale doit être rapidement pris en charge dans une unité de soins intensifs au sein d’une clinique vétérinaire. Dans le cas d'une forme aigüe, le traitement offre de très bons résultats s'il est pratiqué rapidement, mais ne peut empêcher le décès dans le cas contraire. Dans le cas d'une forme chronique, la guérison n'est pas possible, mais une prise en charge rapide et adaptée peut considérablement augmenter l'espérance de vie du chat malade.
tina, 7 ans.
cette été, elle commençait à uriner hors de la caisse, à boire beaucoup d'eau et à s'isoler.
Au début je pensais que c'était un pb comportemental à cause de l'arrivée du nouveau mais après analyse : taux de créatinine élevé.
Par chance elle est au début de la maladie IRC (taux urée normal), le veto a prescrit des croquettes médicalisés et elle les tolère bien.
vu que je l'ai assuré depuis ses 5 ans, elle va pouvoir être bien suivi face à cette maladie.
bonjour, d'après le véto, les reins de mon chat ne fonctionnent plus, qu'il perdrait l'appétit, qu'il allait être très fatigué mais qu'il ne souffrait pas. J'ai demandé à un docteur pour ce problème et il m'a répondu que si les reins ne fonctionnent plus, il souffrirait, il aurait des crampes. Mon chat mange et bois, il a du mal à marcher, il n'utilise que ses pattes avant pour marcher et il laisse traîner ses pattes arrière. Quand il fait pipi il a du mal et parfois il miaule on dirait qu'il n'arrive pas à uriner. Il s'isole dans le jardin. Je ne sais plus quoi faire, attendre ou l'euthanasier.
bonjour
mon chat est agée de 14 ans et elle me fait aussi une insuffisance rénale on laé mis sur perfution elle est restée chez le véterinaire mais elle ne voulais toujour pas manger donc il me la rendu croyent quelle remangerai mai j ai du la gavée elle a remanger un peu mais le vétérinaire lui a préscrit du médrol elle mange un peut mai elle a perdu encore 100g ses un chat qui pesai 6k500 le vétérinaire vas se renseigner car il y a un kit de dialize pour chat je ne sais pas plus mais je ne sais pas se que je ferais si elle nes plus la car entre elle et moi il y a vraiment amour fusionelle et si elle nes plus la il y auras une partie de mois qui ne sera plus la jespere que l on trouvera un jour les greffes du rein pour les chats???
bonjour, ton chat est jeune ou agé ?
avant toute chose, attend de savoir ce que ton véto te dira. Cela dépend aussi à du stade d'avancement de la maladie de ton minou.
Certains chats peuvent vivre longtemps avec la maladie si ils ont un traitement adapté. alors garde espoir
bonjour,
mon chat a justement une insuffisance rénale. rappel des symptômes :
il as des vomissements, de la diarrhée, il est tres fatigué et boit énormément...
le vétérinaire la garder pour le mettre sous perfusion...
j'ai lu votre article et apparament mon chat n'aurais presque pas de chances...
je peux croire qu'il va se rétablir ou dois-je me faire une raison ??
merci de m'avoir lu.
Bonjour à toutes et à tous, Mon chat est un sacré de Birmanie, âgé de 3 ans et demi. Lors de la visite de...