Le chat est connu pour son instinct et surtout pour son talent de chasseur, ce qui n’est pas d’ailleurs sans conséquences pour l’écosystème dans lequel il évolue. Une étude a ainsi montré que rien qu’aux Etats-Unis, entre 1,4 et 3,7 milliards d’oiseaux et entre 6,9 et 20,7 milliards de petits mammifères meurent chaque année entre les griffes des chats.
De fait, bien que les chats domestiques n’aient plus besoin de chasser pour se nourrir, la chasse reste l’une de leurs activités principales et a de réelles conséquences, parfois graves, sur l’environnement.
Qu’il vive à l’état sauvage ou qu’il soit domestiqué, tout chat héritent d’un instinct de chasse. Ce dernier provient de son comportement de prédation à l’état naturel, où il doit capturer des proies pour se nourrir, mais aussi nourrir sa progéniture. Pour se nourrir, un chat sauvage peut chasser les 2/3 de son temps, contrairement au chat domestique, qui lui ne chasse pas ou peu par faim. En tout cas, l'un comme l'autre sont susceptibles de s'adonner à la chasse même en étant repus.
A l’état sauvage, le chat chasse pour se nourrir : son régime alimentaire de carnivore est composé d’animaux de petite taille (rongeurs, oiseaux, reptiles et insectes), avec un volume qui varie en fonction de la saison, de la motivation du chat, de son habitat, de son expérience et de sa faim. Quoi qu’il en soit, pour des raisons biologiques, il répartit son apport alimentaire quotidien en une dizaine de prises par jour, plutôt que de faire un ou deux gros repas. Il chasse selon l’enchaînement suivant : se tapir dans l’ombre, se déplacer discrètement, attraper sa proie, la tuer, jouer avec, et enfin la manger.
Les chats domestiques ne dépendent plus de la chasse pour subvenir à leurs besoins, mais leur instinct de chasseur, basé sur leur instinct primaire de survie, est fortement présent. Même si cela peut également être le cas pour un individu vivant à l'état sauvage, la chasse chez le chat domestique vient essentiellement d’une envie de jouer très forte dont le désir est provoqué par la proie elle-même : la simple vue d’une souris ou d’un moineau stimule immédiatement l’instinct de chasse de l’animal.
Même s’il peut lui arriver de dévorer sa proie, le chat domestique ne chasse pas pour manger, mais pour jouer. Ainsi, il joue avec sa proie (en général un rongeur ou un oiseau) avant de la laisser comme trophée, morte ou à l’agonie, la plupart du temps devant la maison. C’est l’envie de jouer qui pousse le chat à capturer des proies, et paradoxalement, ces dernières stimulent à leur tour cette envie, en sautant et en couinant.
Les experts estiment qu’en jouant avec sa proie, qu’elle soit morte ou vivante, le chat libère le stress et la tension accumulés pendant la chasse. Le jeu consiste à jeter la proie en l’air, la secouer, la rattraper et la repousser. Il peut arriver qu'il laisse volontairement sa proie s’enfuir avant de l’attraper à nouveau, et il peut même arriver qu’il délaisse subitement sa première proie à la vue d’une deuxième qu’il se met à chasser immédiatement.
A la fin du jeu, la proie est généralement déposée comme trophée devant l’entrée de la maison : de nombreux experts de la psychologie du chat estiment que c’est une manière pour lui de partager son butin et de faire participer son maître à son jeu. De ce fait, il est important de ne pas gronder l’animal ; il est même plutôt conseillé de le complimenter. En tout cas, il ne faut surtout pas se débarrasser de la proie devant lui, car il ne comprendrait pas une telle réaction. Mieux vaut donc attendre qu’il soit hors de vue avant de jeter son trophée. D’autres experts défendent une autre théorie : selon eux, le chat rapporte des proies non pas pour faire plaisir à son maître, mais bien plutôt pour constituer des réserves sur le lieu qu’il considère être son espace de vie.
Même domestiqué, le chat est un prédateur qui a gardé son instinct de chasseur. La mère des chatons joue un rôle crucial en leur apprenant les rudiments de la chasse dès l’âge de 5 semaines, car ils sont alors capables d’observer leur mère et de se déplacer.
A ce stade, la chatte attaque ses proies en émettant des sons, afin d’attirer l’attention de ses petits. Une fois la proie attrapée, et qu’elle soit vivante ou mort, elle l’apporte auprès de ses chatons et en mange devant eux, avant qu’ils se mettent à leur tour à jouer avec la proie et s’habituent à la manipuler. Le type de proies que la mère apporte peut influencer celles que ses petits se mettront à leur tour à chercher une fois adultes.
A partir de 8 semaines, le chaton change de comportement, passant du statut de joueur à celui de prédateur : il est capable de chasser, de ramener son butin et de s’en nourrir, plutôt que de se contenter de jouer avec.
Afin de recréer les conditions de l’apprentissage de la chasse pour un chat d’appartement et sa portée, il est conseillé d’utiliser des jouets pour chat représentant des proies, comme des souris ou des oiseaux à plume. Pour un chaton séparé de sa mère, il est possible de stimuler son instinct de chasse en pratiquant certaines activités, comme des jeux de poursuite en utilisant des fausses proies. Par contre, n’utilisez pas vos mains, mais des objets tels qu'une plume au bout d’une ficelle ou une balle, afin d’éviter toute griffure du chat et/ou qu'il vous assimile de près ou de loin à la chasse.
Tous les chats savent chasser, mais leur talent dépend aussi de leur race, qui détermine notamment leurs attributs physiques et leur comportement. Il existe ainsi des races de chats proches des félins sauvages, et d’autres au contraire qui en sont considérablement éloignées.
Parmi les races de chats qui sont les meilleurs chasseurs, on peut citer :
On observe deux stratégies de chasse chez le chat : la stratégie mobile, dans laquelle il est en mouvement et s'arrête quand son attention est attirée par une proie, et la stratégie stationnaire, dans laquelle il trouve une zone d'intérêt (c’est-à-dire une zone dans laquelle peuvent se trouver des proies potentielles), se met en embuscade et attend. Tous les chats utilisent les deux types de stratégie.
Une session de chasse se déroule selon des étapes bien spécifiques. Dans un premier temps, il s’agit bien sûr de localiser la proie. Pour cela, le chat se met en position aplatie et effectue des mouvements furtifs afin de ne pas être repéré pendant qu’il observe sa proie. Une fois que cette dernière est à portée, il entame une manœuvre qui consiste à rétracter ses pattes postérieures, sur lesquelles il se balance afin de diminuer la fatigue musculaire. Puis, lors de l’assaut final, il effectue un bond très court afin que ses pattes postérieures retombent sur le sol, lui donnant un bon équilibre et l’allonge nécessaire pour récupérer sa proie à l’aide de ses pattes antérieures – une position qui lui permet également de contrer toute tentative de fuite. En se jetant sur sa victime, il l’immobilise en la mordant au cou afin de lui briser la moëlle épinière. La méthode de chasse reste la même quelle que soit l’espèce chassée, mais le chat peut se spécialiser dans la capture d’une espèce grâce à l’expérience accumulée à force de s’attaquer à elle en particulier.
Les sens jouent un rôle stratégique dans la partie de chasse. Ainsi, l’ouïe du chat, qui est très sensible aux bruissements et aux ultrasons, lui permet d’entendre sa proie et de la localiser. La vue du chat lui permet quant à elle d’associer l’image au son, ce qui permet de déclencher le mécanisme d’approche. Les vibrisses du chat, situées sur son museau et à l’arrière des carpes, lui sont aussi d’une grande utilité lors de la chasse : tendues vers l’avant, elles lui fournissent une grande précision lors du repérage de sa proie et sont d’une meilleure fiabilité que la vue elle-même. Enfin, le goût du chat lui permet de déterminer les proies les plus savoureuses, qu’il cherchera à nouveau à attraper lors de ses futures sessions de chasse.
Il est bien connu que les chats sont friands de poisson. Toutefois, il est rare de voir des chats pêcher, car la plupart ont peur de l’eau : les races de chat qui aiment l’eau sont plus l’exception que la règle. En revanche, ils profitent généralement des restes de poissons laissés par les ours et les loutres.
De fait, les proies les plus courantes du chat sont de petits mammifères (rongeurs, insectivores…), des petits reptiles (lézards…), des petits oiseaux, voire des insectes (en particulier pour le chat domestique, qui chasse principalement des insectes : mouches, petits papillons, etc.).
Il convient toutefois d’opérer une distinction entre ces différents types de proies du chat. Les mammifères (campagnols, souris, jeunes lapins, jeunes lièvres, rats, musaraignes et taupes) sont les proies favorites du chat, car il s’en nourrit, tandis que les oiseaux (perdrix, faisans, étourneaux, moineaux, passereaux...) et les petits reptiles sont chassés principalement par jeu, et font plus rarement partie de son alimentation. D’après des relevés d’études sur l’alimentation du chat domestique continental (notamment celle de Borkenhagen en 1979, celle de Liberg en 1984 et celle de Chuercher et Lawton en 1987), les proies naturelles du chat représentent 15 à 90% de son alimentation (un individu vivant à la campagne se nourrit plus en chassant qu’un autre vivant en ville), et se répartissent de la manière suivante : 60 à 70 % de petits mammifères, 20 à 30 % d’oiseaux et jusqu’à 10 % d’amphibiens, reptiles et insectes.
On considère en tout cas le chat comme un opportuniste, car il préfère les animaux faciles à capturer et qui se trouvent en grand nombre dans son environnement. De ce fait, on dit que c’est un « prédateur généraliste versatile »
Si la chasse est instinctive chez le chat, même pour les individus domestiqués, elle n'en présente pas moins des risques pour lui - et parfois également pour sa famille.
En premier lieu, si un petit rongeur blessé a peu de chances de lui causer le moindre tort, il arrive parfois qu'il cherche à s'en prendre à un animal un peu plus à même de se défendre. Quand bien même il finit par s'imposer, il arrive que cela soit dans la douleur : blessure à une patte, à l'oeil, etc.
En outre, il se peut que sa proie intéresse également des congénères ou d'autres prédateurs. Que celle-ci soit encore vivante ou qu'il l'ait achevée, ses rivaux peuvent s'avérer de redoutables adversaires et ne pas hésiter à s'en prendre à lui pour emporter le morceau.
Par ailleurs, quand bien même il n'est alors pas en concurrence, un chat peut parfaitement se blesser de lui-même - voire trouver la mort - en pourchassant une proie, tant il est alors concentré sur son objectif. Par exemple, il peut passer à travers un buisson piquant, sauter d'une hauteur trop élevée, ou bien traverser une route sans voir une voiture qui arrive et se faire renverser par cette dernière.
Le risque existe également que son trophée plus ou moins durement acquis mette en danger sa santé. C'est le cas en particulier si sa proie s'avère être malade, ou par exemple simplement porteur de parasites. En effet, il a alors des chances à son tour malade ou infecté - voire d'ailleurs de contaminer son entourage, s'il s'agit d'une maladie du chat transmissible à l'Homme. Certaines proies peuvent aussi être vénimeuses : c’est le cas par exemple des guêpes, qu'il ne distingue pas des mouches et dont il ne se méfie pas instinctivement, alors qu’elles représentent un grand risque pour lui. En effet, l’ingestion du dard de la guêpe peut lui être fatal.
Enfin, emporté par son élan, le chat peut finir par s'éloigner très loin de son territoire et ne plus être capable de revenir. Pour éviter de perdre son animal de la sorte, il peut être utile de se pencher sur un comparatif des colliers connectés et d'investir dans l'un des modèles disponibles sur le marché.
Cela dit, au global, le plus gros risque que représente le comportement de chasse des chats n'est pas pour eux-mêmes, mais bien plutôt pour l'écosystème dans son ensemble.
Rien qu’aux Etats-Unis, selon une étude réalisée par Scott R. Loss, Tom Will et Peter P. Marra, dont les résultats ont été publiés en janvier 2013 dans la revue scientifique Nature Communications au sein d’un article intitulé « The impact of free-ranging domestic cats on wildlife of the United States », les chats tueraient chaque année entre 1,4 et 3,7 milliards d’oiseaux, et entre 6,9 et 20,7 milliards de petits mammifères, pour environ 80 millions de félins domestiques et 30 à 80 millions de chats errants. Le problème est tout particulièrement prononcé avec ces derniers, car ils tueraient en moyenne une cinquantaine d’oiseaux par an, contre 5 à 10 pour les chats domestiques.
Au Royaume-Uni, un des pays d’Europe qui comptent le plus de chats, on estime que les 9 millions de chats du pays seraient responsables de la mort de 57 millions d’oiseaux par an, selon une étude réalisée en 2003. Ce chiffre pourrait être plus important en France, où la population de chats domestiques s’élève à 13 millions.
De fait, le comportement prédateur des chats pose un véritable problème sur le plan écologique, car il menace la faune à cause de son instinct de prédation insatiable. Aujourd’hui, de nombreuses espèces sont menacées, ou pire, ont disparu à cause de notre félin préféré.
En particulier, l’introduction de chats dans des milieux fermés comme des îles peut conduire à des désastres écologiques. Ainsi, selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), au moins 33 espèces insulaires d’oiseaux, reptiles et mammifères des quatre coins du monde auraient disparu à cause de l’introduction du chat. En l’absence de prédateurs naturels, les chats détruisent les colonies d’oiseaux et de rongeurs, si bien que leur présence a de graves conséquences sur la biodiversité.
En France, où 92 espèces d’oiseaux nicheurs sont menacées selon les chiffres le l’UICN et du Muséum national d’Histoire naturelle, la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) considère le chat comme une « espèce invasive ». De fait, en Europe occidentale, les différentes proies du chat représentent plus de 50 espèces différentes, dont plusieurs espèces d’amphibiens, reptiles et petits vertébrés qui sont en voie de disparition dans l’Hexagone.
En Australie, le chat a été importé à la fin du 18ème siècle et a entraîné la disparition de plusieurs espèces, comme par exemple le bandicoot-lapin à queue blanche ou la souris sauteuse d’Australie à grandes oreilles. Ce constant conduit les autorités à envisager l’extermination d’au moins 2 millions de chats sauvages. Le scientifique Tim Doherty, du Center for Integrative Ecology de l’Université de Deakin (état de Victoria), a effectué des recherches pour mieux identifiquer les ravages causés par le chat dans son pays, et a abouti à la conclusion qu'il y est responsable de la disparition de 63 espèces de mammifères, oiseaux et reptiles au cours des 5 derniers siècles.
Il convient toutefois de contrebalancer un peu le propos, car le comportement de prédation du chat n’a pas toujours été considéré comme nuisible. Ainsi, alors qu’il avait été pendant des siècles considéré comme maléfique et de ce fait torturé, le chat fut grandement réhabilité à la Renaissance, car vu comme un moyen efficace de lutter contre la prolifération des rats. Il faut dire que la population européenne avait été amputée d’un tiers au 14ème siècle, à cause de la peste notamment transmise par ces derniers. Même encore de nos jours, alors que des villes comme Paris souffrent de la surpopulation de rats, il apparaît qu’une présence accrue des chats permettrait d’atténuer le problème, et le recours aux félins est préféré aux méthodes de dératisation classiques.
En tout état de cause, accuser le chat de la disparition de certaines espèces est plutôt malvenu de la part de l’Homme : le principal génocidaire en la matière, c’est bien lui.
Empêcher son chat de chasser est une tâche difficile, à moins de l’empêcher de sortir ou d’utiliser un collier doté d’une clochette, de manière à faire fuir les proies lorsqu’il s’en approche (solution qui présente néanmoins des risques d’étranglement lorsqu'il traverse un grillage). Toutefois, plusieurs conseils permettent, à son échelle, de préserver la faune et d’éviter que son chat perturbe l’écosystème.
Concernant les oiseaux, il est conseillé de disposer des distributeurs de nourriture et des nichoirs hors de portée des chats, afin qu’ils puissent venir se nourrir sans risquer d’être attaqués par ces derniers.
Quant aux petits mammifères, garder les herbes hautes est un bon moyen de les protéger, car ils peuvent alors s’y tapir et passer beaucoup plus facilement inaperçus aux yeux du félin.
Laisser libre accès au chat à une alimentation variée, c’est-à-dire faire en sorte que sa gamelle comporte toujours de la nourriture, et l’empêcher de sortir au petit matin et à la tombée de la nuit, moments où son instinct de la prédation est le plus fort, permet aussi de limiter le problème.
Il peut aussi être pertinent d’empêcher l’accès au jardin, ou du moins à certaines parties de celui-ci, en installant des grillages, des buissons épineux ou encore des bouteilles en plastique à des endroits stratégiques, pour dissuader toute tentative de franchissement. Les chats détestent d’ailleurs marcher sur certaines surfaces comme les grillages métalliques : il est utile d’en disposer près des mangeoires, devant les buissons et les points d’eau.
Des répulsifs pour chat odorants ou auditifs peuvent également être utilisés pour les éloigner.
Enfin, il est possible également d’avoir recours à certaines techniques visuelles, comme des demi-bouteilles remplies d’eau ou des CDs, qui diffusent des reflets mouvants et qui le gênent dans la chasse aux oiseaux.
De nombreuses informations et suggestions supplémentaires sont disponibles sur le site de la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux), qui recommande et présente divers outils et techniques pour protéger les petits animaux de son jardin et limiter la prédation des chats domestiques.
La domestication du chat par l’Homme ne l’empêche pas de continuer à être un chasseur hors pair. Qu’il soit sauvage ou qu’il vive dans un foyer, la chasse fait partie de ses passe-temps favoris, lui permettant de jouer et d’évacuer son stress, de garder la forme, et au besoin de se nourrir.
Toutefois, certaines espèces – en particulier des oiseaux - sont fortement menacées par la présence du chat, dont l’instinct de chasse peut dans certains endroits être considéré comme un désastre écologique. Encore trop peu d’études démontrent le rôle du chat dans la destruction de l’écosystème, mais une prise de conscience commence à s’opérer. Cela dit, son impact sur la faune reste quoi qu’il en soit limité en comparaison de celui de l’Homme.
vos conseil sont très utiles a tout ceux qui ont un chat chez eux !!!
Merci beaucoup ! A bientôt !
Qui aimerait voir son cadeau directement jeté à la poubelle par le destinataire ???
Non, d'autant qu'aurait pu être rajouté que le chat domestique a connu il y a fort longtemps une complicité avec l'homme par le fait qui lui donnait de la viande fraîche en échange de ses services. Même aujourd'hui les chat sont appréciés des agriculteurs parce-qu'il débarrasse la vermine.
Ainsi le chat possède un territoire intéressant, une fammille avec les soins nécessaires, et l'homme obtient d'un animal peu couteux des services qui n'ont pas de prix!
Bravo pour le site il est intéressant!
Frank
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