Un beau pelage brillant, des griffes parfaitement taillées, des yeux et des oreilles bien propres : si tout ceci peut sembler relever de la coquetterie, il n’en est rien, car il en va de la santé et du bien-être du chat. Les gestes d’entretien du quotidien s’avèrent donc indispensables, et savoir les effectuer au mieux fait partie des responsabilités qui incombent à tout maître.
Néanmoins, toutes les races ne sont pas égales en la matière : certaines nécessitent nettement moins d’effort et de suivi que d’autres. Voici 10 races de chat qui se distinguent par le fait d'être particulièrement faciles à entretenir.
Comme celui d’un humain, l’entretien d’un chat repose sur une routine à mettre en place dès son plus jeune âge, et s’avère indispensable tant pour son bien-être que pour sa santé. En effet, ces quelques gestes simples peuvent prévenir bien des problèmes plus ou moins graves.
Le chat est un animal extrêmement propre, qui s’occupe lui-même de sa toilette dès lors qu’il est en mesure de le faire. Toutefois, en léchant sa fourrure pour la nettoyer, il ingère à la longue une quantité importante de poils, qui finissent par s’accumuler dans son estomac et peuvent former des boules de poils. Ces dernières entraînent des troubles digestifs (vomissements, constipation…), voire des occlusions intestinales.
Le brossage permet à la fois d’enlever les poils morts et de prévenir ces problèmes, mais offre également l’occasion de vérifier l’état de la peau de l’animal et ainsi de déceler au plus tôt d’éventuels parasites, plaies ou autres anomalies.
Les oreilles d’un chat sont particulièrement délicates et doivent être traitées avec la plus grande précaution. À défaut d’entretien régulier, de l’humidité, du cérumen, des saletés et autres impuretés ont tôt fait de s’accumuler dans le conduit auditif, avec à la clef un risque d’otites pouvant s’aggraver voire entraîner une surdité.
Le nettoyage des oreilles doit être effectué généralement toutes les semaines, et est aussi l’occasion de déceler un éventuel problème. Par exemple, si elles suintent beaucoup, présentent des taches brunes ou des rougeurs, dégagent une odeur forte ou encore si l'animal semble souffrir lorsqu'on les manipule, une visite chez le vétérinaire s’impose.
Les yeux d’un chat requièrent eux aussi un certain suivi et doivent être inspectés toutes les semaines, voire plus fréquemment pour certaines races qui sont prédisposées à des problèmes à ce niveau (tel le Persan). Un nettoyage s’impose seulement si des saletés sont présentes autour (traces de larme, petites poussières, sécrétions…), et permet de réduire notamment le risque de conjonctivites.
En revanche, si on remarque un larmoiement excessif, des écoulements purulents ou une couleur rouge, il est nécessaire de consulter rapidement un vétérinaire.
Tout comme celle d’un humain, les dents d’un chat sont sujettes au tartre. Ce dernier peut entraîner à terme des gingivites à répétition, une parodontose, voire un déchaussement des dents.
Un brossage des dents au moins une fois par semaine (voire idéalement chaque jour) est le meilleur moyen d’éviter l’accumulation de plaque dentaire, qui en se calcifiant se transforme en tartre. Cet entretien régulier permet de vérifier par la même occasion l’état de santé bucco-dentaire de l’animal, et de détecter d’éventuelles anomalies.
Dans la nature, les chats liment naturellement leurs griffes en se déplaçant et en jouant. Or, pour les sujets domestiques, cette usure spontanée peut être insuffisante - en particulier chez ceux vivant en appartement.
Si les griffes deviennent trop longues, elles peuvent non seulement gêner l’animal, voire affecter durablement sa démarche et entraîner des problèmes articulaires, mais aussi le blesser en se recourbant sur les coussinets. Il est donc essentiel de vérifier au moins une fois par mois les griffes de son chat, et de les tailler manuellement si cela est nécessaire.
La race influe grandement sur le besoin d’entretien d’un chat : certaines races sont beaucoup moins difficiles et chronophages en termes d’entretien que d’autres. Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue que d’autres paramètres entrent également en ligne de compte, à commencer par l’âge et le mode de vie de l’animal.
L’espèce féline présente un grand éventail de races (autour d’une centaine), et donc une importante diversité physiologique comme morphologique. Le fait que les caractéristiques des races diffèrent de l’une à l’autre implique qu’il en va de même concernant leur besoin d’entretien.
L’exemple le plus parlant est celui du pelage. Un félin au poil long et facilement emmêlé comme le Persan nécessite un brossage quasi quotidien, là où un chat au poil court et soyeux comme le Bengal n’a besoin que d’un coup de peigne mensuel.
En ce qui concerne les oreilles, leur forme n’est pas sans conséquences. Ainsi, les chats aux oreilles pliées (comme le Scottish Fold ou le Highland Fold) développent plus fréquemment des otites, car cette particularité morphologique facilite l’accumulation de saletés et d’humidité. Ils nécessitent donc une vigilance renforcée à ce niveau, et une fréquence de nettoyage accrue.
La morphologie du visage peut également avoir une influence. C'est le cas en particulier avec les chats brachycéphales, c’est-à-dire à la face écrasée (comme le Persan, le British Shorthair ou l’Exotic Shorthair) : ils possèdent des canaux lacrymaux recourbés, qui de ce fait se bouchent facilement. Leurs yeux ont donc davantage tendance à couler et nécessitent plus souvent d’être nettoyés.
Enfin, indépendamment de leurs caractéristiques physiques, certaines races sont – souvent par héritage génétique - particulièrement sujettes à certaines maladies (de peau, des yeux, des oreilles…) et requièrent donc un suivi plus poussé. Par exemple, l’Abyssin et le Bombay sont prédisposés à des gingivites et nécessitent de ce fait une hygiène bucco-dentaire plus rigoureuse que la plupart de leurs congénères.
Ainsi, du fait de ses caractéristiques physiques ou de son héritage génétique, chaque race a ses spécificités en termes de risques de problèmes et de besoin d’entretien.
Les différents représentants d’une même race partagent des caractéristiques physiques et génétiques communes, qui influent largement sur leur besoin d’entretien. Pour autant, d’autres facteurs que la race entrent également en ligne de compte.
C’est le cas en particulier de l’âge : en règle générale, un individu âgé nécessite davantage de soins. En effet, il perd plus de poils, use moins ses griffes et est davantage sujet à divers problèmes.
Le mode de vie a également son importance. Un chat qui a accès à l’extérieur et qui sort beaucoup lime davantage ses griffes et sème une partie de ses poils morts au gré de ses vagabondages. Sur ces points-là, il nécessite donc moins d’entretien qu’un chat d’intérieur. En revanche, il faut porter une plus grande attention à l’état de sa peau et à l’éventuelle présence de parasites.
Enfin, il ne faut pas perdre de vue que même parmi une race donnée, les caractéristiques physiques peuvent différer d’un individu à l’autre – et avec elles le besoin d’entretien. Par exemple, au sein d’une race brachycéphale comme le Persan, certains individus présentent un écrasement de la face plus prononcé que les autres, et nécessitent donc un entretien des yeux plus important.
Ainsi, raisonner seulement en termes de race est trop simpliste pour connaître le besoin exact d’entretien d’un chat, d’autant que celui-ci peut évoluer au fil du temps. Il revient à chaque maître d’analyser précisément ce qu’il en est et d’être attentif à son compagnon, pour adapter la routine d’entretien aux besoins de ce dernier – quitte à se faire aider par un toiletteur professionnel si nécessaire.
Issu d’un croisement entre un chat domestique et un chat hybride, le Bengal fait preuve, sous ses airs de petit léopard, d’une affection sans faille pour les humains. C’est toutefois une qualité à double tranchant, car il a en contrepartie un besoin d’attention important : si ses maîtres ne satisfont pas ce dernier, il risque de développer des comportements destructeurs.
C’est d’autant plus vrai qu’il a de l’énergie à revendre, et doit disposer de suffisamment d’espace pour la dépenser. Une maison avec jardin est vivement recommandée pour l’accueillir, même si un appartement suffisamment grand et disposant de toutes sortes d’étagères sur lesquelles il est en mesure de sauter peut suffire. Cette vivacité fait en tout cas qu’il est peu sujet à l’obésité, et qu’en général l’usure naturelle suffit à limer ses griffes.
Son somptueux pelage court, soyeux et qui tombe peu est également facile à entretenir : une simple session bimensuelle suffit à enlever les poils morts et maintenir sa fourrure en bonne santé.
Descendant du Donskoy et du Siamois, le Peterbald séduit par sa gentillesse, son intelligence et sa grâce. C’est un compagnon très facile à vivre au quotidien, même si son apparence atypique rebute de nombreux adoptants potentiels. En effet, il est généralement dépourvu de poils, ou possède seulement un fin duvet.
Ceci pourrait laisser penser, à tort, qu’il ne nécessite aucun entretien. En effet, chez un chat nu, le sébum sécrété par les glandes sébacées ne peut s’étaler sur le pelage, ce qui conduit à l’accumulation de saletés et à la prolifération de bactéries à même la peau.
Pour éviter les mauvaises odeurs et d’éventuelles infections, il est ainsi recommandé de lui donner un bain hebdomadaire. Le Peterbald aimant le contact de l’eau tiède, ce nettoyage ne devrait poser aucun problème et pourrait même devenir un moment de complicité partagée avec son maître.
Par ailleurs, l’absence de poils le rend également plus vulnérable au froid. Pour maintenir sa température corporelle, il a donc besoin de manger un peu plus que les autres chats de gabarit similaire. Elle implique également que son épiderme est particulièrement vulnérable face à d’éventuels coups de soleil : l’application de crème solaire est donc de mise avant toute exposition prolongée à l’extérieur.
En dehors de ces particularités liées à sa nudité, ce chat est globalement facile à entretenir.
Originaire de l’île britannique du même nom, le Manx est un chat sans queue au physique tout en rondeurs. Doux et sociable, il se montre particulièrement affectueux et sociable envers son maître, n’hésitant d’ailleurs pas à le suivre partout dans la maison.
Son pelage dense, soyeux et court ne requiert pas un entretien très poussé : un simple brossage hebdomadaire suffit à enlever les poils morts et garder sa fourrure brillante. En période de mue, c’est-à-dire au printemps et à l’automne, la fréquence de brossage peut être augmentée à deux voire trois sessions par semaine.
Par ailleurs, il est particulièrement utile de profiter de temps à autres des séances d’entretien du Manx pour le peser (par exemple une fois tous les mois). En effet, ce chat mange de tout et fait parfois preuve de gourmandise excessive : contrairement à nombre de ses congénères, il n’est pas forcément capable de se réguler, et présente donc un risque accru d’embonpoint voire d’obésité.
Chat affectueux à tendance « pot de colle », l’Abyssin se démarque par un physique athlétique et élégant digne des félins sauvages les plus majestueux.
Son pelage court et fin ne nécessite que peu d’entretien, d’autant qu’il ne perd que peu ses poils : en dehors de ses périodes de mue, un brossage hebdomadaire s’avère amplement suffisant pour entretenir sa fourrure.
En outre, comme il est très actif (même s’il vit en appartement), ses griffes ont tendance à s’user naturellement. Une taille manuelle n’est donc normalement pas nécessaire, même s’il faut quand même vérifier tous les mois ce qu’il en est.
Prédisposé aux gingivites, l’Abyssin requiert une vigilance accrue concernant sa santé dentaire. L’idéal est d’ailleurs de nettoyer quotidiennement ses dents, afin de prévenir l’accumulation de plaque dentaire.
Le Savannah est une race de chat nouvelle, créée dans les années 80 et résultant de croisements effectués entre des servals, chats sauvages africains, et des chattes domestiques. Réputé pour son caractère doux, affectueux et joueur, il a donc hérité ainsi de l’allure et du dynamisme de son ancêtre sauvage, tout en étant parfaitement adapté comme animal de compagnie.
Doté d’une énergie débordante, il aime particulièrement se dépenser en extérieur. La vie en appartement n’est toutefois pas un problème pour lui, pour peu que le logement soit assez spacieux. Dans tous les cas, ses maîtres doivent garder à l’esprit que son héritage sauvage implique qu’il n’hésite pas à suivre une éventuelle proie sur de longues distances : le risque qu'il fugue est donc particulièrement élevé.
Son sous-poil est dense, mais son pelage est court et ses chutes de poils moindres, si bien d’ailleurs qu’il fait partie des races de chats les plus hypoallergéniques. Un brossage hebdomadaire est amplement suffisant à l’entretien de sa fourrure. En outre, il n’est pas compliqué de lui donner un bain s’il s’est sali, car il aime l’eau.
Enfin, son niveau d’activité élevé implique par ailleurs qu’il a tendance à limer naturellement ses griffes, même si bien sûr cela ne dispense pas de vérifier environ une fois par mois ce qu’il en est.
Proche cousin du Siamois, l’Oriental Shorthair partage beaucoup de points communs avec ce dernier, notamment un caractère tendre (quoique parfois un peu têtu) et un attachement important à son maître.
Il possède un pelage très court, sans sous-poil, et ne perd que peu de poils. Son besoin d’entretien à ce niveau est donc des plus minimes : en temps normal, un brossage bimensuel de sa fourrure suffit. L’idéal est de le faire avec un gant en velours ou une brosse à poil doux, de manière à préserver toute sa beauté.
Il convient en tout cas de profiter de temps à autres des séances d’entretien pour le peser et ainsi surveiller l’évolution de sa courbe de poids. En effet, il est très gourmand : plutôt que de se réguler comme nombre d’autres petits félins, il a plutôt tendance à manger tout ce qu’il trouve, avec une certaine gloutonnerie pouvant le conduire à l’obésité.
Pour éviter le surpoids et ses conséquences néfastes sur sa santé, il est important de surveiller régulièrement son poids et de lui fournir des rations de nourriture adéquates. Des croquettes du commerce suffisent à le satisfaire si elles sont d’assez bonne qualité et sont à privilégier à l’alimentation « maison », qui a de grandes chances d’être inadaptée à son estomac fragile.
Le Bleu Russe est connu pour son élégance, son calme, sa discrétion et son attachement envers son maître. Sa robe bleu-gris lui vaut parfois d’être confondu avec le Chartreux, dont il se distingue notamment par ses grands yeux verts.
Cette race fait partie de celles qui perdent le moins de poils, même pendant les périodes de mue. Cette caractéristique lui offre d’ailleurs une place de choix dans la liste des chats les plus hypoallergéniques. Elle implique aussi que l’entretien de son pelage est des plus aisés : un coup de brosse chaque semaine suffit pour que ce dernier reste doux et brillant.
En revanche, comme il est assez peu dynamique – voire franchement paresseux -, ses griffes ne s’usent généralement pas assez naturellement. Il est donc indispensable de les examiner toutes les deux ou trois semaines, et de les couper au besoin.
Ancêtre du Siamois Moderne, le Thaï partage de nombreux points communs avec ce dernier, notamment une santé solide et une recherche d’attention permanente. Son besoin d’affection est à prendre en considération, car il souffre grandement de la solitude et nécessite, pour être heureux, une présence de ses maîtres plus importante que la plupart de ses congénères.
Il se montre en revanche peu chronophage en termes d’entretien, notamment parce qu’en dehors des périodes de mue son pelage court ne requiert rien de plus qu’un simple brossage hebdomadaire pour entretenir sa fourrure et éviter les chutes de poils morts.
Ce chat est en revanche particulièrement prédisposé aux troubles urinaires s’il ne s’hydrate pas suffisamment. Il faut donc s'assurer qu'il boive régulièrement et éventuellement mettre à sa disposition plusieurs gamelles d’eau fraîche réparties dans le logement, plutôt qu'une seule.
Regard malicieux, port majestueux et tempérament placide : le Chartreux est un chat énigmatique, qui séduit par son affection discrète.
Il est réputé notamment pour sa fourrure particulièrement dense et laineuse. Cet aspect fourni pourrait laisser croire que celle-ci est exigeante en termes d’entretien. Or, il n’en est rien : en temps normal, une séance de brossage hebdomadaire suffit à enlever les poils morts et à garder son pelage brillant. Il est toutefois préférable d’utiliser un peigne plutôt qu’une brosse, de manière que sa fourrure conserve son aspect laineux.
Lors des deux périodes de mue annuelle, au printemps et à l’automne, les choses sont assez différentes, car il perd alors une quantité importante de poils. Le brossage doit alors être plus fréquent ; l’idéal est de s’en occuper tous les jours.
Pour le reste, l’entretien du Chartreux est des plus standards, et sans difficulté particulière. Il est recommandé toutefois de profiter de temps à autres (environ une fois par mois) de ces moments pour le peser, car il a une légère tendance à la gloutonnerie et donc au surpoids.
Parfois confondu à tort avec le chat de gouttière, l’Européen, ou European Shorthair, est une race à part entière reconnue par de nombreux organismes félins officiels. Il est vrai néanmoins qu’il présente de nombreuses similitudes avec le chat commun, et est très proche de ce dernier.
Son pelage court, lustré et peu dense présente une perte de poils minime et un besoin d’entretien limité. Il n’en reste pas moins nécessaire de le brosser une fois par semaine pour l’entretenir et éviter une ingestion trop importante de poils morts, pouvant conduire à la formation de boules de poils dans l’estomac (trichobézoards).
Par ailleurs, comme ce chat passe généralement une bonne partie de son temps à l’extérieur, ses griffes s’usent naturellement et n’ont normalement pas besoin d’être taillées manuellement. Cela ne dispense pas néanmoins de vérifier environ une fois par mois ce qu’il en est, afin de les tailler si en fait cela s’avère nécessaire.
Il pourrait être tentant de céder aux sirènes de la procrastination et de retarder la mise en place d’une routine de soin pour son animal, en particulier si on opte pour une race facile d’entretien. Or, une telle attitude serait à la fois irresponsable et contreproductive.
En premier lieu, négliger l’entretien de son chat a toutes les chances d’être un calcul perdant à plus ou moins brève échéance – tant pour l’animal que pour son propriétaire. En effet, des problèmes ne manqueraient alors pas de survenir, aux conséquences potentiellement graves, chronophages et/ou coûteuses – en particulier dans le cas d’une maladie qui nécessiterait un traitement à vie.
En outre, plus on attend pour habituer son chat aux différentes manipulations requises dans le cadre de son entretien, plus il y a des chances qu’il les accepte difficilement. Un véritable cercle vicieux peut même s’installer : s’il se montre anxieux et récalcitrant, son entretien n’en est que plus stressant et difficile, avec à la clef un risque accru de lui faire mal voire le blesser – ce qui évidemment l'inciterait d’autant à appréhender ces moments. Au contraire, s'il est habitué dès son plus jeune âge à se laisser manipuler, les deux protagonistes sont généralement sereins et les séances d’entretien sont de simples formalités, voire l’occasion de moments de tendresse et de partage.
Adopter un chat implique la responsabilité d’en prendre soin, et donc notamment de veiller à son entretien. Certaines races sont davantage exigeantes en la matière, à cause de leurs caractéristiques morphologiques ou de prédispositions à certaines maladies.
Néanmoins, il ne faut pas perdre de vue que le besoin d’entretien d’un chat ne dépend pas que de sa race, loin de là. En effet, d’autres paramètres comme son âge, son état de santé ou encore son mode de vie entrent également en ligne de compte. Ainsi, même un chat appartenant à une race connue pour être facile d’entretien peut finalement demander en la matière plus d’attention qu’un autre.
Qu’il s’agisse de son pelage, ses yeux, ses oreilles, ses dents ou encore ses griffes, chaque animal a donc des besoins qui lui sont propres, et qu'il est impératif de satisfaire afin de lui assurer une bonne qualité de vie.
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