Emmener son chat en vacances : lieux, formalités, conseils...

Lorsqu'on veut partir en vacances avec un chat, le choix du lieu de séjour a son importance. En effet, tous ne conviennent pas forcément, et certains peuvent même lui être interdits. Certes, les restrictions concernant les chats sont moins courantes que celles relatives aux chiens, mais mieux vaut prendre le temps de bien vérifier ce qu'il en est en amont, afin d'éviter une mauvaise surprise.

En particulier, il faut faire attention à bien choisir :

• le pays (dans le cas d'un séjour à l'étranger), car il est courant qu'un pays fixe un certain nombre de règles quand on souhaite y entrer avec un chat. En particulier, il est souvent obligatoire que ce dernier soit vacciné contre la rage et/ou traité contre les parasites, et parfois il doit être placé en quarantaine quelque temps à l’arrivée - ce qui a tôt fait d'être rédhibitoire dans le cas d'un séjour de courte durée ;
  
  
• la région où on prévoir d'aller, car il peut arriver qu'elle soit interdite aux chats - généralement du fait que la rage y est fortement présente. Il en va ainsi notamment sur certaines îles d'Indonésie (notamment Bali et Sumatra), mais ça reste globalement un cas de figure très rare ;
  
  
• la ville où l'on se rend, car il existe parfois des règles municipales concernant les animaux de compagnie : il est nécessaire le cas échéant de les connaître et de s'y conformer ;
  
  
• l'endroit où l'on prévoit de loger (hôtel, camping, appartement de location...), car dans nombre d'entre eux les animaux ne sont acceptés que sous certaines conditions - par exemple être vaccinés et/ou systématiquement tenus en laisse. Il arrive même qu'ils soient tout simplement interdits, généralement pour des raisons d’hygiène. Il est donc utile de prendre le temps de se renseigner en contactant l'établissement ou en consultant son site Internet ;
  
  
• les endroits situés à proximité et où on envisage de l’emmener (parcs naturels, plages...), car là encore il n’est pas forcément le bienvenu partout. Par exemple, certaines plages sont interdites aux animaux de compagnie, ou bien ne leur sont autorisées que certains jours de la semaine et/ou certaines heures de la journée.

Il est indispensable de choisir avec soin l'endroit où l'on séjourne en vacances avec son chat, mais cela ne suffit pas : avant de partir, il faut aussi s'assurer d'avoir pris un certain nombre de précautions.

Les principales sont les suivantes :

• le faire vacciner, non seulement contre la rage (le vaccin antirabique est d'ailleurs souvent demandé pour pouvoir le faire entrer dans un pays étranger, mais aussi tout simplement pour séjourner dans un hôtel ou un camping) mais aussi potentiellement contre d'autres maladies courantes - en particulier la leucose, le typhus et le coryza, qui sont graves voire incurables ;
  
  
• le traiter contre les parasites, à savoir a minima les puces, les tiques et les vers ;
  
  
• le faire identifier par puce électronique, même lorsque la législation du lieu où l'on se rend ne l'impose pas : de cette façon, les chances de le retrouver si jamais il se perd ou fugue sont nettement meilleures. S'il est déjà doté d'une puce, il convient de s'assurer que les coordonnées associées (adresse, numéro de téléphone...) sont bel et bien à jour dans la base de données : l'I-CAD pour la France, Cat-ID pour la Belgique, ANIS pour la Suisse, etc. ;
  
  

• le déclarer auprès de son assurance responsabilité civile, afin d'être couvert s'il cause des dégâts et/ou blesse autrui ;
  
  
• noter le numéro de téléphone d'un vétérinaire situé près du lieu où on sera basé, pour être en mesure de le contacter rapidement en cas de problème voire d'urgence. D'ailleurs, pour un séjour à l'étranger, mieux vaut s'assurer que l'on pourra facilement téléphoner à des services de santé en cas de besoin - quitte pour cela à se procurer une carte eSIM ou une SIM physique, ce qui de toute façon pourra être utile par bien d'autres aspects.

Cela dit, ces différentes formalités ont normalement déjà été faites car elles sont utiles en tout temps, pas seulement en vacances.

Dans le cas où on décide de voyager à l'étranger avec son chat, il n'est pas rare de devoir réaliser des formalités supplémentaires plus ou moins complexes et nombreuses en fonction non seulement du pays de destination, mais aussi des éventuels pays de transit. En particulier, il est courant que soit requis un certificat vétérinaire de bonne santé, un certificat de vaccination contre la rage ou encore un passeport pour animaux (c'est le cas notamment dans l'Union Européenne). Certaines formalités sont susceptibles de prendre plusieurs semaines, donc mieux vaut ne pas s'y atteler au dernier moment.

Mieux vaut donc avoir de la place dans sa valise lorsqu'on part en vacances avec son chat. En effet, il est alors nécessaire d'emporter certains documents, mais aussi toutes sortes d'accessoires pour le nourrir, le soigner, le nettoyer... .

Il faut savoir au passage qu'un chat est généralement routinier : il accepte relativement facilement de petites modifications dans son quotidien, mais n'aime pas beaucoup les grands changements. Or, un départ en vacances et un séjour dans un lieu inhabituel sont déjà bien stressants pour lui : dans l'idéal, mieux vaut donc emporter ses accessoires habituels pour ne pas le perturber davantage.

Naturellement, les éléments listés ci-dessous sont donnés à titre indicatif : il convient d'adapter à la durée du séjour ainsi qu'au lieu où l'on se rend. En particulier, dans le cas où on part en vacances à l'étranger, il faut savoir que des restrictions peuvent trouver à s'appliquer concernant ce qu'il est permis d'introduire sur le territoire : par exemple, il n'est pas possible d'avoir de la nourriture pour animaux avec soi lorsqu'on entre au Canada.

Lorsqu'on voyage avec un chat, il faut penser à prendre toutes sortes de documents le concernant.

Cela comprend en particulier :

• son carnet de santé, au cas où on doit se rendre chez un vétérinaire ;
• les certificats de vaccination requis, en particulier celui contre la rage ;
• son certificat de bonne santé, s'il est requis pour le voyage et/ou le séjour ;
• son passeport européen, si on se rend à l'étranger depuis un pays de l'Union Européenne ;
• une photo récente de lui, pour pouvoir publier un avis de recherche si jamais il se perd ou fugue.

L'idéal pour nourrir son chat pendant les vacances est de prendre ses gamelles d'eau et de nourriture habituelles : il est en effet moins perturbé lorsqu'on met à sa disposition les accessoires auxquels il est déjà habitué. Si elles sont encombrantes et qu’on n'a pas suffisamment de place dans sa valise pour les emporter, on peut éventuellement opter pour des gamelles de voyage, généralement plus petites - voire pliables.

Par ailleurs, mieux vaut emporter sa nourriture habituelle pour au moins quelques jours, voire idéalement pour l'intégralité du séjour si l'on n'est pas certain de pouvoir l'acheter sur place. En effet, il n'est pas conseillé de changer son alimentaton, a fortiori de façon brutale : cela aurait toutes les chances de perturber son transit intestinal.

On peut aussi emporter éventuellement quelques friandises qu'il apprécie : cela peut être utile pour le récompenser après le voyage ou pour le rassurer s'il est inquiet sur le lieu de vacances.

Même en vacances, un chat peut se blesser ou être malade, et nécessiter des soins adaptés. Il est donc utile d'emporter de quoi gérer au mieux un éventuel problème.

Cela comprend notamment :

• une trousse de secours pour chat afin de pouvoir soigner un petit bobo ou agir en cas d'urgence ;
• des calmants s'il a tendance à être stressé lors des trajets ;
• des antivomitifs et/ou des antinauséeux s'il est sujet au mal des transports ;
• ses médicaments s'il est sous traitement et qu'il n'est pas possible de se les procurer pendant les vacances. Toutefois, dans le cas d'un voyage à l'étranger, il faut s'assurer qu'ils sont autorisés dans le pays de destination, au risque qu'ils soient confisqués à la douane - voire d'avoir des ennuis avec la justice.

Vacances ou pas, il faut veiller à l'hygiène de son chat.

Il est donc utile d'emporter avec soi :

• son bac à litière, ou un bac de voyage (par exemple pliable) si son bac habituel est trop encombrant ;
• de la litière pour chat, a minima pour le trajet - voire pour tout le séjour ;
• une pelle à litière, pour pouvoir la nettoyer au quotidien ;
• du matériel de toilettage pour être en mesure de le brosser, lui laver les dents... ;
• un linge ou une serviette à placer dans sa caisse ou son sac de transport, au cas où il ferait ses besoins ou vomirait pendant un trajet.

Qui dit vacances dit trajets, ne serait-ce que pour s'y rendre. Il faut donc prévoir le matériel adéquat pour transporter son chat en toute sécurité, puis pour le garder sous surveillance (voire sous contrôle) une fois sur place.

Par conséquent, il faut prévoir :

• une caisse (ou éventuellement un sac) de transport, en prenant soin d'y faire figurer ses coordonnées si elle est placée en soute : avion, bateau... Cela dit, si on opte pour la voiture, on peut se contenter d'un harnais de sécurité permettant d'attacher l'animal à un siège ;
  
  
• un harnais ainsi qu'une laisse pour le promener, si au moins à certains moments on ne souhaite pas qu'il puisse aller et venir librement ;
  
  
• un collier avec ses coordonnées qu'on lui fait porter en permanence, pour pouvoir être contacté facilement s'il se perd ou s'échappe. On peut aussi éventuellement y faire figurer l'adresse de l'endroit où l'on réside alors, si cela s'y prête. Néanmoins, s'il a tendance à être fugueur et/ou s'il ne supporte pas d'être promené en laisse, mieux vaut même opter pour un collier GPS : cela permet de connaître à tout moment sa position. Quelle que soit l'option retenue, il est conseillé d'opter pour un modèle élastique ou anti-étranglement : cela permet d'éviter un accident potentiellement fatal.

Dès lors qu'on décide de partir en vacances avec son chat, il est important qu'il soit bien installé tout au long de ces dernières, afin qu'il se sente à l'aise. C'est d'autant plus vrai que le fait se retrouver hors de son environnement habituel est perturbant pour lui.

Il convient donc d'emporter entre autres :

• son panier et son coussin, ou une couverture qui puisse faire office de couchage ;
• des jouets qu'il apprécie, afin d'avoir de quoi le divertir (y compris potentiellement pendant les trajets) ;
• son griffoir, ou un autre support sur lequel il aime faire ses griffes si celui-ci est trop imposant : un paillasson, du carton, un bout de bois... Cela permet d'éviter qu'il s'en prenne aux meubles ou à d'autres objets.

Un chat n'apprécie généralement pas beaucoup ce qui sort de son train-train ordinaire, et en particulier les trajets - que ce soit en voiture ou via un autre moyen de transport. Or, pour se rendre en vacances, il faut nécessairement en passer par là. Le voyage peut même s'avérer long, en particulier si l'on se rend dans un autre pays.

Différentes précautions permettent toutefois de maximiser les chances que les choses se passent bien, ou du moins pas trop mal.

En particulier, il est conseillé de :

• l'habituer en amont à sa caisse (ou sac) de transport : il sera alors moins inquiet le jour J ;
• y installer un linge ou un vêtement dont l'odeur lui est familière, pour le rassurer ;
• y répandre des phéromones d'apaisement, en particulier s'il est fortement sujet au stress ;
• jouer avec lui avant de partir, de sorte qu'il soit moins agité ;
• ne pas le nourrir au cours des heures qui précèdent le départ, afin qu'il ait moins de chances d'être malade ou de faire ses besoins pendant le trajet ;
• ne pas le gronder s'il est inquiet ou agité, car cela ne ferait que l'angoisser davantage.

En outre, s'il a tendance à souffrir du mal des transports, il est judicieux de lui donner un traitement quelques jours en amont en vue de limiter voire empêcher l'apparition de symptômes  - en particulier les nausées ainsi que les vomissements.

Enfin, dans le cas où le voyage s'effectue en voiture ou en camping-car, une bonne idée pour faciliter le trajet consiste à habituer son chat au véhicule (s'il ne l'est pas déjà), notamment en faisant quelques courts déplacements avec lui avant le départ. Par ailleurs, une fois sur la route, il faut veiller à conserver une température agréable à l'intérieur de l'habitacle (c'est-à-dire ni trop chaude ni trop froide) et à faire une pause toutes les deux heures pour lui permettre de boire et/ou se dégourdir les pattes.

Gérer un chat en vacances n'est pas forcément simple : il faut non seulement s'assurer qu'il est bien installé, mais aussi veiller à satisfaire ses besoins élémentaires – notamment le nourrir correctement et éventuellement lui permettre de sortir.

Avant même de défaire ses bagages une fois arrivé sur place, il est important de choisir l’endroit où installer le chat. L’idéal est d’opter pour une pièce calme et agréable, qui ne soit pas trop chaude si c’est l’été, ou trop froide si c’est l’hiver. Il ne reste alors plus qu’à y disposer ses accessoires : son panier, son bac à litière, son grattoir, ses gamelles... Si elle est assez grande, il convient de laisser quelques mètres entre chaque, pour bien séparer les différents lieux de vie.

S'il semble perdu ou angoissé, mieux vaut sans doute ne pas le laisser sortir de la pièce les premiers temps (si c'est possible), afin qu'il récupère tranquillement du stress et de la fatigue du voyage. C'est d'autant plus utile que le logement a de grandes chances d’être animé au début, le temps que tout le monde s’installe et prenne ses marques. S'il semble toujours peu assuré (par exemple s'il se cache sous le lit ou derrière un meuble), il ne faut pas hésiter à le calmer et le distraire en lui parlant gentiment, en le caressant, voire en lui donnant une friandise ou en jouant avec lui.

Une fois qu'il a pris confiance dans la pièce où on l'installe, ce qui nécessite généralement un jour ou deux, on peut lui permettre de déambuler dans l'ensemble du logement, après bien sûr avoir pris soin de fermer les fenêtres pour qu’il ne puisse pas s’enfuir.

En tout état de cause, il est important de ne pas le brusquer : il doit pouvoir découvrir son nouvel environnement à son rythme, et avoir la possibilité de se réfugier à tout instant s'il le souhaite dans un endroit où il semble plus rassuré - c'est-à-dire normalement « sa » pièce, voire plus précisément son panier.

Il est préférable de ne pas changer l’alimentation d'un chat de manière soudaine : en plus de risquer de lui causer du stress, cela pourrait mettre à mal son tube digestif, plus sensible que celui d’un humain. Par conséquent, quand on l'emmène en vacances avec soi (ou d'ailleurs quand on le confie alors aux soins d'un tiers), mieux vaut qu'il continue d'être nourri avec les mêmes aliments que d'habitude. Si ce n’est pas possible, une transition de quelques jours s'impose afin que son organisme puisse s’habituer progressivement à son nouveau régime.

Par ailleurs, il est conseillé de lui offrir à manger dès qu'on arrive, car il y a de grandes chances qu'il ait faim – surtout si le voyage a été long. Par la suite, il convient de se caler dans la mesure du possible sur le même rythme qu’à la maison, pour ne pas le perturber davantage.

Il n’est pas nécessaire de s’alarmer si jamais il mange un peu moins qu'à l'accoutumée, en particulier les premiers jours : cela peut tout simplement être la conséquence du dépaysement, de la fatigue du voyage et/ou de la température plus élevée le cas échéant - notamment dans le cas de vacances estivales. Il faut simplement veiller à ce que son transit reste normal : si on constate une constipation, des selles molles voire une diarrhée qui se prolongent pendant plusieurs jours, il est judicieux de solliciter un vétérinaire pour avoir son avis.

Enfin, comme à la maison, il faut s’assurer qu’il a toujours de l'eau fraîche et propre à sa disposition, a fortiori s'il fait chaud.

Dans le cas d'un chat habitué à vivre uniquement en intérieur, mieux vaut ne pas lui permettre de sortir pendant les vacances. En effet, lui accorder temporairement une liberté accrue risquerait fortement de créer chez lui une frustration importante au retour de vacances, lorsqu’il devra à nouveau rester enfermé toute la journée.

En revanche, s’il a l’habitude de sortir, on peut lui permettre de profiter de l’extérieur également pendant les vacances, mais mieux vaut se montrer prudent. En effet, un chat a plus de chance de se perdre ou d'avoir un accident dans un environnement qu’il ne connaît pas. Il pourrait également être tenté de retourner de lui-même à son domicile, en particulier s’il est très perturbé par le dépaysement. Une option pour éviter ces risques consiste à l’attacher avec une longe à un poteau ou un arbre, ou bien à le laisser évoluer au dehors seulement dans le cadre de promenades au cours desquelles on le tient en laisse. S'il ne supporte pas cette manière de procéder, on peut le laisser libre de ses mouvements, à condition de lui faire porter un collier GPS : cela permet de savoir à tout moment où il se trouve, et donc de le retrouver facilement au besoin.

Par ailleurs, si l’on souhaite effectivement permettre à son chat de profiter de l’extérieur d'une manière ou d'une autre, il est important de le traiter contre les parasites (puces, tiques, vers…) s’il ne l’est pas déjà, mais aussi de vérifier régulièrement sa peau, son pelage et ses coussinets pour détecter d’éventuels bobos ou épillets. Ces conseils valent d’ailleurs aussi tout le reste du temps, pas seulement pendant les vacances.

Perdre son chat est évidemment une grande source de stress, a fortiori si c'est dans un endroit qu'on ne connaît pas - ou pas bien.

Or, le risque existe bien entendu tout au long de l’année, mais il est accru en vacances. En effet, le petit félin peut être tenté de partir à l’aventure pour explorer son nouveau territoire, mais ne pas réussir à retrouver son chemin. Il pourrait aussi chercher à retourner vers son lieu de vie habituel, si celui-ci lui manque trop. Enfin, le fait qu'on a soi-même tendance à relâcher sa vigilance n'arrange pas les choses...

Si jamais la situation se présente, la méthode pour retrouver un chat perdu est globalement la même en vacances qu’au domicile habituel :

• inspecter les environs en l’appelant, car il n’est peut-être pas parti bien loin ;
• faire le tour des habitations et commerces des environs, au cas où quelqu’un l’aurait vu ou trouvé ;
• contacter les vétérinaires et refuges à proximité, au cas où quelqu'un le leur aurait ramené ;
• coller des affiches dans le quartier avec sa photo, un numéro de téléphone auquel on est joignable, et si possible les coordonnées du domicile habituel ainsi que celles du lieu de vacances (en précisant la date de fin du séjour) ;
• signaler sa disparition sur les réseaux sociaux et/ou sur des sites d'annonces d'animaux perdus / trouvés ;
• informer l'organisme en charge du fichier national d'identification du pays d'où l'on provient : l’I-CAD en France, Cat-ID en Belgique, ANIS en Suisse... Il convient au passage de mentionner l'existence d'Europetnet, qui permet d'interroger via une plate-forme unique l'ensemble de ces bases de données ainsi que leurs équivalents dans les autres pays européens : c'est un outil fort pratique pour permettre à toute personne ou organisation ayant trouvé un chat d'accéder aux coordonnées de son propriétaire, et ainsi permettre leurs retrouvailles.

Ces conseils ne garantissent évidemment pas que l’on parviendra à le retrouver, mais augmentent fortement les chances que cela se produise.