Karelian Bobtail

Karelian Bobtail

Autres noms : Bobtail de Carélie
Pays d'origine : Russie

Qualités du Karelian Bobtail

Tempérament du Karelian Bobtail

Affectueux
Calme
Joueur
Peut rester seul
Sociable

Sociabilité du Karelian Bobtail

Avec les enfants

Le Karelian Bobtail au quotidien

Miaule peu
Santé robuste
Nécessite peu d'entretien
Perd peu de poils
Mange peu
Peu enclin à l'obésité

Caractéristiques

Poids
De 3 à 5 kg
Taille
30 cm

Informations sur le Karelian Bobtail

ApparenceVariétésHistoireCaractèreSantéEntretien
AlimentationPrixDivers

Le Karelian Bobtail est souvent comparé par ses admirateurs à un petit lynx, du fait de son absence de queue et de ses grandes pattes arrière. Ces dernières sont nettement plus grandes que celles de devant, mais toutes sont fortes et très puissantes.

 

Bien qu’il ait une taille assez standard, il est beaucoup plus massif et lourd qu’il ne le paraît. Bâti autour d’une poitrine de taille moyenne et musclée, il a une apparence générale compacte, sans paraître trop trapue.

 

Sa queue est l’une des particularités marquantes de la race, et son apparence exacte diffère grandement d’un individu à l’autre. Elle est dans tous les cas très courte, ne mesurant guère plus de 4 à 13 cm : une queue totalement absente ou plus longue que 13 cm n’est pas acceptée dans le standard de la race. Quelle que soit sa taille, la fourrure est plus longue à ce niveau-là, ce qui donne l’air d’un pompon. Par ailleurs, elle peut cependant être totalement droite ou présenter des cassures.

 

Cette originalité en ce qui concerne la taille de sa queue est le résultat d’une mutation génétique, et le gène qui en est à l’origine est récessif. Autrement dit, les deux parents doivent présenter une queue courte pour qu’il en aille de même des chatons.

 

La tête du Bobtail de Carélie est de taille moyenne et en forme de triangle. Son front, ainsi que ses joues, sont plats, et son nez est assez long et droit. Ses oreilles sont grandes et placées haut sur le dessus de sa tête. Leurs extrémités sont légèrement arrondies. Ses yeux sont en forme d’amande, de taille moyenne, et leur couleur correspond en général à celle de la robe. Les plus représentées sont le vert et le jaune.

 

Le pelage du Kurelian Bobtail se compose d’une double couche de poils très épaisse, qui le protège des intempéries. Il peut être court ou long, mais doit être dans tous les cas dense, brillant et doux. Toutes les couleurs sont acceptées à l’exception du cannelle, du chocolat, du fauve, du lilas et du colorpoint. Celles les plus couramment observées sont le blanc, le noir, le bleu et le bleu-crème. La robe peut être bicolore, tricolore ou tabby, et chez beaucoup d’individus elle présente des reflets argentés et dorés.

 

Enfin, cette race est marquée par un certain dimorphisme sexuel, puisque les femelles sont, la plupart du temps, plus petites et moins lourdes que les mâles. Quel que soit leur sexe, les petits mettent du temps à grandir, puisqu’ils n’atteignent leur pleine maturité physique qu’autour de l’âge de 5 ans.

Taille & poids du Karelian Bobtail

Taille
30 cm
Poids
De 3 à 5 kg

Standard du Karelian Bobtail

Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Karelian Bobtail doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :

Le Karelian Bobtail se décline en deux variétés : les individus à poils courts et ceux à poils longs. Hormis la longueur de leur pelage, rien ne les différencie tant physiquement que psychologiquement.

Le Karelian Bobtail (ou Bobtail de Carélie) est une race de chat russe originaire plus précisément de la République de Carélie, à la frontière finlandaise. Il est apparu naturellement il y a au moins 200 ans sur les îles du lac Ladoga, , et n’a pas connu pas beaucoup de modifications opérées par l’Homme.

 

Il est probable que la race ait eu un lien, au cours de son histoire, avec le Chat des Forêts Norvégiennes, une race scandinave d’origine elle aussi naturelle. Il n’existe cependant à ce jour aucune étude ADN prouvant cette parenté. Les spécialistes ont aussi pendant longtemps établi un lien entre le Karelian et le Kurilian Bobtail, une race de chat également russe mais originaire des îles Kouriles, situées près des côtes japonaises. La science a toutefois établi depuis que ces races naturelles, disposant toutes deux d’une queue courte et présentant effectivement de nombreuses similarités sur le plan physique et psychologique, sont en réalité totalement distinctes.

 

Le Karelian était très apprécié par les habitants de sa région natale non seulement pour sa grande capacité à chasser la vermine, mais aussi car selon une légende ancienne, posséder un chat dépourvu de queue ou ayant une queue particulièrement courte portait bonheur à son propriétaire.

 

Cette particularité morphologique est le résultat d’une mutation génétique apparue naturellement chez les chats vivant sur les îles du lac Ladoga. Elle se transmit spontanément de génération en génération, et est d’ailleurs différente de celle observée chez le Bobtail des Kouriles. En effet, chez ce dernier, le gène est dominant : il suffit qu’un seul des deux parents le transmette pour que les chatons en soient porteurs. En revanche, chez le Karelian, il s’agit d’un gène récessif, ce qui implique que les deux parents doivent avoir une queue courte pour que le chaton hérite de cette caractéristique.

 

C’est durant les années 80 que des félinologues de l’actuelle Saint-Pétersbourg, membres de la commission du Kotofey KLK, une importante association féline russe, s’intéressèrent pour la première fois en détails à la race et à la décrivirent précisément.

 

Le tout premier standard fut rédigé par leurs soins en 1987, sur la base des chats de l’éleveuse Liliya Dvoryaninovich. Cette dernière possédait une quinzaine de sujets à queue courte, descendants de parents trouvés sur la rive nord du lac de Ladoga.

 

La race fut reconnue en Russie pour la première fois en 1990 par la Sovetskaya Felinologicheskaya Federatsiya (SFF), un organisme russe qui n’existe plus désormais. Elle fit sa première apparition dans une exposition féline en 1993, plus précisément lors de l’Exposition Intercontinentale Eurasia, à Ekaterinbourg. Le Kotofey KLK enregistra les premiers représentants en 1994.

 

Néanmoins, les choses n’ont pas beaucoup évolué depuis lors quant à la reconnaissance de la race, qui demeure limitée à son pays d’origine. Par exemple, ni les organismes internationaux comme la Fédération Internationale Féline (FIFé) ou The International Cat Association (TICA), ni les structures nationales comme la Cat Fanciers’ Association (CFA) américaine, le Governing Council of the Cat Fancy (GCCF) britannique, le Livre Officiel des Origines Félines (LOOF) français ou l’Association Féline Canadienne (AFC) ne la reconnaissent pas la race. Encore méconnu hors de la Russie, le Karelian Bobtail n’est que très peu représenté à l’échelle mondiale.

 

Même en Russie, ses effectifs sont très réduits. À plusieurs reprises, des passionnés tentèrent de développer la race et d’accroître le nombre de ses représentants, mais jusqu’à présent, leurs tentatives furent vaines. Le programme le plus important fut développé par le Kotofey KLK en 2012, mais atteint rapidement ses limites du fait que l’organisme ne permet aucun croisement avec d’autres races. De ce fait, il est difficile de constituer une population suffisante pour espérer pouvoir assurer un bel avenir au Karelian. Même en allant chercher des sujets à l’état sauvage dans leur région d’origine, ce n’est pas suffisant. Cela dit, il ne faut pas perdre de vue qu’une grande partie de la population de la race – voire la majorité – vit précisément à l’état sauvage, et n’apparaît donc pas dans les statistiques.

 

Le nombre d’élevages de Karelian Bobtail est des plus réduits. Ils se trouvent pour la plupart dans les territoires proches de Saint-Pétersbourg, mais on en compte aussi une poignée dans diverses autres villes (Medvezhyegorsk, Kirov, Petrozavodsk…).

Le Karelian Bobtail est un chat intelligent, sociable et curieux. Il aime énormément passer du temps avec les membres de sa famille et prend du plaisir à être à leur contact , se montrant apte à s’intégrer dans tous types de foyers. Il a souvent tendance à privilégier une personne en particulier dont il est particulièrement proche, mais cela ne signifie pas pour autant qu’il tourne le dos aux autres.

 

Son tempérament joueur et son goût prononcé pour les interactions en font notamment une race de chat recommandée avec un enfant. Pour peu qu’il sache se comporter avec respect à son encontre, les deux compères peuvent passer des heures à s’amuser ensemble. Il convient toutefois de garder à l’esprit que, pour la sécurité de l’un comme de l’autre, il ne faut jamais laisser un tout-petit sans surveillance avec un chat. C’est une question de sécurité, que ce soit pour l’animal ou pour l’enfant.
Ce chat s’entend également très bien avec les personnes âgées.

 

Le Bobtail de Carélie est également peu timide à l’égard des personnes qu’il ne connaît pas, bien qu’il ait parfois besoin d’un certain temps avant de venir à leur contact.

 

Sa sociabilité s’applique aussi aux autres animaux : même s’il doit partager son foyer et l’attention de ses maîtres avec eux, il s’entend en général parfaitement avec ses congénères et fait aussi souvent bonne paire avec les chiens – a fortiori ceux faisant partie des races de chien qui aiment les chats.

 

En revanche, il n’est pas question d’espérer le faire cohabiter en harmonie avec des petits animaux pouvant s’apparenter pour lui à des proies. En effet, son instinct de chasse très aiguisé fait qu’un rongeur, un oiseau ou un poisson ne serait jamais en sécurité à ses côtés, quand bien même ils vivent ensemble depuis tout petit. D’ailleurs, s’il a accès à l’extérieur, son propriétaire doit s’attendre à recevoir régulièrement des cadeaux de la part de son animal, sous forme de proies rapportées à la maison.

 

En tout cas, quand bien même ses origines le rendent très résistant au froid, pouvoir évoluer au dehors n’est pas forcément indispensable pour un Bobtail de Carélie. Très adaptable, il peut vivre aussi bien dans une maison avec un jardin auquel il a librement accès qu’au sein d’un appartement, tant qu'il a de quoi s’occuper et se dépenser. S’il passe sa vie en intérieur, il doit donc impérativement disposer d’un arbre à chat, par exemple. En effet, comme la plupart de ses congénères, il adore prendre de la hauteur et grimper dans les arbres ou sur les meubles. Cela dit, le fait d’être très actif ne veut pas dire qu’il n’apprécie pas également des moments de tranquillité auprès de ses maîtres ; il partage d’ailleurs volontiers le canapé avec eux.

 

En effet, la chose la plus importante dont un Karelian a besoin pour être heureux, c’est d’être en contact avec d’autres êtres vivants. Le lieu dans lequel il vit importe donc moins que la présence de ses propriétaires et leur disponibilité pour lui accorder de l’attention. Par conséquent, il ne convient pas pour des personnes généralement absentes le plus gros de la journée, qui feraient mieux d’opter pour une race de chat indépendante. Cela dit, lui faire partager son foyer avec un ou plusieurs chats ou chiens peut représenter un moyen intéressant de compenser en partie les absences de ses maîtres.
Sachant qu’en plus de bouger beaucoup, il a aussi besoin d’être stimulé mentalement et est très à l’écoute de ces derniers, il fait un parfait élève pour qui souhaite enseigner des tours à son chat. Il peut par exemple apprendre à répondre à son prénom, à se coucher sur commande ou encore à rapporter des objets.

 

Non content d’assimiler ce qu’on attend de lui, il est capable également de comprendre les comportements considérés comme indésirables. S’il est pris en flagrant délit, par exemple alors qu’il monte sur la table pendant un repas, une simple réprimande suffit généralement pour qu’il ne répète pas le geste.

 

Le Bobtail de Carélie a aussi le bon goût d’être plutôt une race de chat silencieuse : il n’est pas du genre à utiliser sans cesse sa voix, pourtant très douce et mélodique, pour demander des faveurs. Quand il désire formuler un souhait, il préfère généralement communiquer par la voie tactile, en touchant son propriétaire de la patte. Cela dit, de manière générale, il n’est absolument pas exigeant ni envahissant.

 

Enfin, le mâle possède la particularité de ne marquer que très peu son territoire.

Le Karelian Bobtail jouit d’une bonne santé générale, et on ne lui connaît d’ailleurs pas de problème génétique particulier, ni même d’ailleurs de maladie à laquelle il est particulièrement prédisposé. Cela dit, c’est lié aussi au manque de recul dont on dispose, compte tenu du fait que cela fait peu longtemps que des spécialistes des chats s’intéressent à son cas, et que sa diffusion demeure très limitée.

 

Habitué au rude climat de sa Russie d’origine, il est en tout cas particulièrement résistant aux températures froides et n’a aucun problème à passer le plus clair de son temps en extérieur, même au cœur de l’hiver.

 

Même si cette race ne présente pas de risque particulier en termes de santé, il est important d’opter pour un éleveur de Karelian Bobtail sérieux. Il doit être en mesure de présenter un certificat de bonne santé établi par un vétérinaire digne de confiance, prouvant que le petit félin ne présente aucun signe de maladie ou de problème quelconque. Il doit aussi pouvoir apporter la preuve des vaccins qui lui ont été administrés.

 

Enfin, parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir, il est fortement conseillé d’effectuer une visite de routine chez le vétérinaire au moins une fois par an de façon à procéder à un bilan de santé complet et s’assurer que tout va bien. C’est également l’occasion d’effectuer les rappels de vaccins si besoin est, et de faire le point sur les traitements antiparasitaires que le maître doit prendre soin d’administrer à son chat tout au long de l’année.

L’entretien du pelage du Karelian Bobtail est facile. Pour les individus à poil court, un brossage hebdomadaire suffit à éliminer les poils morts. Ceux à poil long ont quant à eux besoin d’être brossés un peu plus souvent – au moins deux fois par semaine – de façon à éviter la formation de nœuds ou de boules de poils. En période normale, les uns comme les autres ne perdent que très peu de poils. Il en va toutefois autrement en période de mue, au printemps et en automne : une fréquence quotidienne est alors généralement nécessaire pour éviter de retrouver des poils partout dans la maison.

 

Quelle que soit la longueur de son pelage, lui donner un bain n’est que rarement nécessaire, à moins bien sûr qu’il ne se soit particulièrement sali. Lorsqu’on le fait, il convient d’utiliser un shampoing spécialement conçu pour les chats.

 

En revanche, il est nécessaire de vérifier ses yeux au moins une fois par semaine et de les nettoyer si besoin est. En plus d’enlever les éventuelles saletés sur leur pourtour, cela peut permettre de détecter tout potentiel début d’infection ou petite blessure.

 

Il faut également examiner et nettoyer ses oreilles de manière hebdomadaire, afin d’éviter notamment que des saletés ne s’y accumulent : elles pourraient là aussi être à l’origines d’infections (otites, etc.).

 

Le brossage des dents est lui aussi très important, car il permet de limiter la formation de plaque dentaire, qui est susceptible d’entraîner de nombreux problèmes. L’idéal est de le faire quotidiennement, mais une fois par semaine est déjà très bien. Quelle que soit la fréquence, il faut systématiquement utiliser un dentifrice spécialement élaboré pour les petits félins.

 

Il convient aussi d’examiner ses griffes à intervalle régulier, par exemple tous les mois. En effet, si elles deviennent trop longues, il est nécessaire de les couper manuellement. À défaut, elles pourraient le gêner voire finir par se casser, avec potentiellement le risque qu’il se blesse. Dans tous les cas, s’il vit en intérieur, un griffoir constitue un investissement indispensable pour éviter qu’il ne comble son besoin naturel de se faire les griffes sur les meubles ou les rideaux.

 

Les soins à apporter au pelage, aux yeux, aux oreilles, aux dents et aux griffes sont des gestes de base que tout propriétaire doit apprendre à effectuer correctement, au risque de faire mal à son animal voire le blesser. Il est donc conseillé de demander conseil à un toiletteur ou un vétérinaire la première fois, de façon à apprendre les bons gestes à adopter pour entretenir son Karelian Bobtail. Il ne faut d’ailleurs pas hésiter à s’y mettre assez rapidement, afin d’apprendre au plus tôt à son chaton à se laisser manipuler :  les séances n’en auront que plus de chances d’être agréables tant pour lui que pour son maître.

Le Karelian Bobtail n’est pas difficile à nourrir et se contente tout à fait d’aliments industriels de qualité et équilibrés. Comme pour tout chat, les produits choisis et les rations fixées doivent être adaptés à son âge, son état de santé et son niveau d’activité physique de son chat.

 

Étant capable de s’autoréguler, il peut avoir en permanence de la nourriture à disposition sans craindre qu’il ne devienne obèse.


Il convient néanmoins de garder un œil sur l’évolution de son poids, car il n’est pas à l’abri d’une prise de poids causée par des raisons médicales (maladie, réaction à un traitement, etc). Peser son chat une fois par mois est l’occasion de s’assurer que tout va bien, ou au contraire de prendre rendez-vous en cas de dérapage qui se confirme voire s’accentue par la suite.

 

Par ailleurs, comme tout chat, il doit avoir à sa disposition en permanence une gamelle d’eau fraîche et propre.

Le Karelian Bobtail est une race de chat extrêmement rare. Pour en adopter un, il n’existe pas d’autres choix que de se tourner vers son pays d’origine,  la Russie. Même là, le choix est loin d’être pléthorique. La plupart des représentants de la race et des éleveurs se concentrent dans la ville de Saint-Pétersbourg et ses environs, mais il existe aussi quelques élevages dans les villes de Medvezhyegorsk, de Kirov et de Petrozavodsk.

 

Le prix d’un chaton Karelian Bobtail varie beaucoup d’un individu à l’autre en fonction de sa lignée du chat, de la renommée de l’élevage mais aussi et surtout de ses caractéristiques physiques. Il faut compter généralement entre 30 000 et 70 000 roubles (soit entre 350 et 900 euros) pour une telle adoption.

 

À ce montant viennent s’ajouter les dépenses relatives pour le faire venir depuis la Russie : coûts de transport, frais administratifs, etc.

Dossier : Adopter un chat
  • Même si bien des choses les rapprochent, et pas seulement en ce qui concerne leur apparence, le Karelian Bobtail ne doit pas être confondu avec le Kurilian Bobtail. Cette autre chat russe  originaire des îles Kouriles, près du Japon,  est apparu lui aussi de manière naturelle sur une île, possède également des talents de chasseurs très développés et se distingue tout autant par son absence de queue. Cette dernière est toutefois le résultat d’une mutation génétique différente de celle qui affecte le Karelian, et les deux races sont bien distinctes.

 

  • De nombreux amateurs demandent une modification de nom de l’un des deux, car la proximité de leur appellation porte à confusion, alors que justement ils ont beaucoup de ressemblances tant en termes physiques que de caractère. De fait, beaucoup de personnes les confondent.

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