Le Persan est un chat de type morphologique bréviligne. Sa tête, ronde et aplatie en son sommet, porte un nez court, de petites oreilles aux extrémités arrondies et de grands yeux ronds. Elle est soutenue par un cou court et épais, ainsi que par un corps musclé et une large poitrine.
Ses pattes sont courtes, puissantes et solides, avec de larges pieds.
La queue est épaisse et portée basse : elle est courte mais proportionnelle à la longueur du chat, ne dépassant généralement pas le niveau de ses omoplates. Une queue trop longue est même considérée comme un défaut.
Sa fourrure est épaisse, avec un poil soyeux et un collier touffu.
Quel que soit l’organisme félin concerné, le standard du Persan accepte une grande variété de couleurs de robes. Ainsi, certains individus sont de couleur uniforme (noir, bleu, chocolat, lilas, roux, crème ou blanc), tandis que d’autres présentent des robes particolores (tabby, smoke, chinchilla, silverhaded, golden, caméo, ou encore colourpoint).
La couleur de la robe conditionne celle des yeux. Par exemple, les yeux des individus qui ont un pelage de couleur blanche sont bleus, or, ou vairons (un œil bleu, un œil or). Les individus de couleur golden, silvershaded et chinchilla présentent quant à eux des yeux verts ou bleus-verts. Les colourpoints, eux, ont les yeux bleus.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Persan doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Selon les organismes et donc les pays, certaines variantes du Persan sont considérées soit comme de simples variétés de la race, soit comme des races à part entière :
L’Himalayen résulte de croisements entre des Persans et des Siamois de couleur colorpoint, dans l’optique de cumuler le long pelage des premiers et les couleurs des seconds. De fait, l’Himalayen présente les mêmes caractéristiques que le Persan, mais avec la particularité d’être porteur du gêne colorpoint.
Le travail de sélection et d’élevage fut entamé dans les années 20, et son but principal était alors d’étudier la transmission du gène colorpoint. L’Himalayen fut reconnu comme une race à part entière pour la première fois en 1955 au Royaume-Uni par le GCCF (Governing Council of the Cat Fancy), puis deux ans plus tard aux Etats-Unis par la CFA (Cat Fiancers’ Association). Cependant, la décennie suivante donna lieu à quelques changements concernant le travail de sélection de la race : les éleveurs finirent par ne croiser que des Himalayens entre eux, ce qui eut comme effet la perte progressive d’un certain nombre de caractéristiques propres au Persan.
Se rendant compte des changements qu’avait subi la race, les éleveurs d’Himalayens décidèrent, dans les années 70, de réintégrer des Persans dans leurs programmes de reproduction. Petit à petit, l’Himalayen retrouva les caractéristiques du Persan et finit par regrouper tous les critères pour pouvoir participer aux expositions félines au côté des Persans. De ce fait, la CFA prit le parti en 1984 de revenir sur sa décision antérieure et de ne plus le considérer que comme une variété du Persan.
Toutefois, certaines fédérations telles que la TICA (The International Cat Association), reconnaissent aujourd’hui toujours l’Himalayen comme race à part entière. La WCF (World Cat Federation) a quant à elle fait le choix de fusionner l’Himalayen, le Colourpoint Shorthair et le Javanais dans une race unique nommée Colorpoint.
Originaire des Etats-Unis et issu de croisements entre Persans et American Shorthairs, l’Exotic Shorthair possède globalement les mêmes caractéristiques que le Persan. En revanche, ses poils courts demandent un entretien moins conséquent que ce dernier, et il est décrit comme un peu plus joueur et vif que lui.
Il fut reconnu en 1967 par la CFA (Cat Fiancers’ Association) américaine. Le TICA (The International Cat Association) l’accepta à son tour en tant que race officielle en 1979, et la FIFé (Fédération Internationale Féline) fit de même en 1983.
Aux Etats-Unis, vers 1930, des éleveurs de Persan obtinrent un type bréviligne extrême : le « Peke Face » (face de Pékinois). Cette variété fut obtenue spontanément et naturellement dans une portée de chatons. Après un travail de sélection, elle devint rapidement un chat populaire au Canada et aux Etats-Unis.
Cependant, le Peke Face a de grandes chances d’avoir des problèmes de respiration, du fait de son nez extrêmement court. De ce fait, cette variété est peu à peu délaissée par les éleveurs, qui semblent avoir pris conscience des limites de la sélection génétique. Au demeurant, comme la morphologie du chat l’expose particulièrement à des problèmes de santé, aucun organisme ne reconnaît officiellement le Peke Face.
Le Persan est une des races de chat les plus anciennes. Elle descend directement de l’Angora Turc, originaire des régions froides de l'Asie Centrale, à la frontière entre l’Iran et la Turquie. Les poils longs que présente ce dernier sont probablement le fruit d’une mutation naturelle et étaient alors inconnus en Europe.
En 1626, les premiers chats à poil long firent leur apparition en Europe, grâce au voyageur italien Pietro Della Valle, qui, marqué par la singularité de l’Angora Turc lors d’un séjour dans l’empire ottoman, en ramena certains spécimens en Italie.
Quelques années plus tard, Nicolas Fabri de Peiresc, conseiller au Parlement d'Aix-en-Provence, ramena lui aussi des Angoras Turcs dans ses terres depuis Damas. Il contribua grandement à la diffusion de cette race en Europe, devenant le premier éleveur d’Angoras Turcs sur le territoire européen.
Symbole de luxe, de raffinement et d’exotisme, ce chat devint rapidement prisé par l'aristocratie européenne et était, de manière générale, réservé aux élites. En France, les rois de Louis XIII à Louis XVI en ont possédé, de même que Marie-Antoinette, qui envoya d’ailleurs ses petits félins en Amérique avant de se faire arrêter.
Le Persan moderne fut créé dans la première moitié du 19ème siècle au Royaume-Uni. Il est le fruit de croisements entre des Angoras Turcs et des European Shorthairs provenant d’Italie, de France et du Royaume-Uni. Les premiers sujets furent présentés lors de la première exposition féline de l’histoire moderne, qui se tint au Crystal Palace, à Londres, en 1871. Dès cette époque, un programme d'élevage et de sélection fut mis sur pied par des éleveurs britanniques, impliquant d’ailleurs des croisements avec des chats Angoras pour améliorer la qualité du pelage. Cette race devint très populaire et prisée de tous, et bénéficia notamment d’un sacré coup de pouce de la Reine Victoria (1819-1901), qui l’appréciait tout particulièrement et en possédait deux.
En outre, tout au long du 19ème siècle, un travail de longue haleine fut entrepris pour améliorer la qualité du poil et faire évoluer sa morphologie jusqu’à obtenir des chats plus ronds. La gamme de couleurs et motifs du pelage du Persan fut également grandement étendue, à tel point que la race compte de nos jours plus de 200 variétés. En effet, si les premiers Persans étaient unicolores, la fin du 19ème siècle marqua l’apparition d’un large éventail de couleurs supplémentaires. Le Persan smoke ou fumé, issu d'accouplements entre Persans noirs, blancs et bleus, fut par exemple exposé pour la première fois à Brighton en 1872. En 1888, à Londres, ce fut le tour du premier Persan Chinchilla. Et c’est à la même époque qu’apparurent les Persans tabby, silver shaded et golden.
Ce travail de diversification fut poursuivi aux Etats-Unis au cours de la première moitié du 20ème siècle. La robe caméo fit alors son apparition, ainsi que le Persan dit « Peke Face » (face de Pékinois), qui, du fait de sa tête extrêmement aplatie et des problèmes de santé que cela engendre, fut source - et l’est toujours aujourd’hui - de grandes controverses.
Les variétés de Persan les plus connues sont l’Himalayen (ou Persan Colorpoint), l’Exotic Shorthair et le Peke Face. En fonction des organismes félins – et donc des pays -, ces variétés sont considérées comme des races à part entières ou comme de simples variétés du Persan. Le Peke Face, quant à lui, n’est pas reconnu en tant que race, mais se distingue tout de même fortement du fait d’une morphologie et d’une tête différente de celle du Persan que l’on observe habituellement.
Le Persan fait partie des races de chat les plus populaires au monde, présent dans le top 5 de nombreux pays. C’est notamment le cas en France, même si le nombre d’enregistrements au LOOF (Livre Officiel des Origines Félines) marque une tendance à la baisse depuis 2010 (plus de 5000 enregistrements en 2010, contre 3700 en 2018). Il conserve néanmoins la 4ème place parmi les races de chats préférées des Français, soit la même qu’aux Etats-Unis. Au Royaume-Uni, c’est-à-dire là où il fut réellement créé, il figure en 6ème position, sur la base des chiffres d’enregistrements auprès du Governing Council of the Cat Fancy (GCCF) au cours des 10 dernières années. L’organisme enregistre environ 1000 naissances par an, avec toutefois là aussi une érosion sensible par rapport à la première décennie du 21ème siècle.
Enfin, non content d’être sans doute l’une des races les plus célèbres au monde, le Persan a probablement participé à la création du Chat sacré de Birmanie et du British Shorthair pendant la période d’entre-deux-guerres.
Le Persan est placide, calme et sédentaire, ce qui en fait une race de chat qui peut vivre en appartement. C’est d’autant plus vrai que contrairement à nombre de ses congénères, il n’éprouve pas un besoin systématique de prendre de la hauteur, au risque de se blesser ou de causer des dégâts. Il y a peu de risques par exemple de le voir grimper aux rideaux ou sauter sur le comptoir de la cuisine : le Persan préfère s’en tenir au sol ou aux meubles plus accessibles pour lui. En outre, ses miaulements sont aussi rares que discrets, ce qui est également un atout appréciable pour une vie en appartement.
Il n’a pas forcément besoin d’un accès à l’extérieur, et cela pourrait même s’avérer plus dangereux qu’autre chose. En effet, sélectionné génération après génération pour être un parfait chat d'intérieur, il serait hors de son domicile particulièrement vulnérable face à d’autres animaux rencontrés lors de ses pérégrinations, ainsi qu’à tous les risques d’accidents à l’extérieur.
Le Persan est célèbre pour sa grande douceur. Affectueux et pacifique, il se montre souvent très attaché à son maître. Toutefois, s’il adore les marques d’affection et les caresses, il n’est pas du genre à venir en réclamer sans cesse, comme le font d’autres races.
De nature sociable, il s'habitue sans problème à la cohabitation avec des congénères ou avec des chiens et même à vivre avec des enfants, à la condition qu’ils restent doux avec lui et ne le manipulent pas excessivement. En effet, si le Persan est tout sauf agressif, un enfant un peu trop vif, un chien très joueur ou un chiot un peu turbulent peuvent être sources de stress pour ce chat aimant le calme. De fait, un cadre de vie bruyant et trop animé ne saurait lui correspondre : il a besoin d’un lieu de vie paisible et non sujet à des changements trop fréquents.
Au final, son tempérament en fait une race de chats idéale pour des personnes âgées. En revanche, s’il devient rapidement très proche de ses humains et des visiteurs réguliers de son logement, il a tendance à se montrer plus distant avec les étrangers.
Par ailleurs, faute peut-être qu’elles s’usent naturellement en vadrouillant en extérieur, il apprécie tout particulièrement de faire ses griffes. De ce fait, pour éviter toute lacération des murs, des rideaux ou du mobilier, il est fortement recommandé de mettre à disposition un voire plusieurs griffoirs et/ou arbres à chat. En ce qui concerne les différents jouets, il a une préférence pour ceux qui sont aussi doux que son pelage.
Du fait d’une importante sélection et de certains croisements effectués dans le passé, le Persan est prédisposé à des problèmes de santé, notamment de nature génétique. Une grande partie de ces soucis est due à la structure de sa tête. Toute personne souhaitant adopter un Persan doit donc être consciente que ce chat, particulièrement « racé » mais ayant pour cela été soumis à une sélection génétique importante, peut être sujet à de nombreux maux.
Il peut ainsi souffrir de difficultés respiratoires ou avoir une respiration bruyante, du fait de ses conduits nasaux rétrécis.
Il peut aussi être victime de malocclusion dentaire (défaut d’alignement ou d’emboîtement des dents) et/ou de gingivite (infection des gencives).
Il est aussi prédisposé à un grand nombre de maladies des yeux, comme l’Atrophie Rétinienne Progressive (maladie incurable de la rétine aboutissant à la perte de vision du chat), l’entropion (renversement du bord des paupières vers l’intérieur), le prolapsus de la glande lacrymale (ou « Cherry Eye », c’est-à-dire une inflammation de la troisième paupière) ou encore la polykystose rénale (pour laquelle un test génétique est disponible).
Le Persan est également plus exposé que les autres races à la dysplasie de la hanche (qui peut nécessiter une opération chirurgicale) et à la cardiomyopathie hypertrophique (CMH).
Il est également prédisposé à un certain nombre de maladies de peau du chat : cheyletiellose, intertrigo des replis faciaux, séborrhée primaire, teigne, etc.
Enfin, c’est une race de chat qui craint la chaleur.
Au final, le Persan est un chat fragile. Parmi les questions à se poser avant d’adopter un chat de cette race, figure donc notamment celle des dépenses vétérinaires - notamment imprévues -, qui peuvent finir par représenter des montants conséquents. Plus encore que pour toute autre race, la prévention est la clef pour garder son chat en bonne santé, à travers notamment de fréquentes visites de contrôle chez le vétérinaire. En outre, il peut être tout particulièrement judicieux de souscrire une assurance santé pour son chat afin de faire face à tout imprévu et d’éviter de risquer de se retrouver dans une situation financièrement difficile.
Par ailleurs, la puberté du Persan est assez tardive, puisqu’elle se produit aux environs de 12 mois, et qu’il atteint sa pleine maturité vers l'âge de 2 ans. Les portées comptent en général 2 à 3 chatons, mais les femelles ne donnent que très rarement naissance à des chatons lorsqu’elles sont âgées de plus de 6 ans. Leur période de fécondité est donc plus restreinte que celle de bon nombre d’autres races, qui peuvent continuer à avoir des petits quasiment jusqu'à leur mort.
Tout propriétaire envisageant de faire se reproduire sa chatte doit savoir que les mises bas sont souvent délicates chez les Persans. Cela dû en particulier au format plutôt massif de la tête des chatons. De fait, le taux de mortalité à la naissance des chatons Persans est plus élevé que celui de la majorité des autres races. Plus qu’avec tout autre race, il est extrêmement important de surveiller la mise bas de la chatte : celle-ci s’avérant souvent difficile, il n’est de fait pas rare que la mère doive subir une césarienne.
Enfin, pour des questions génétiques, la surdité frappe davantage les individus blancs aux yeux bleus, qu’il s’agisse d’ailleurs de Persans ou d’autres races. Il est donc conseillé de ne pas prévoir de mariage entre deux individus présentant une robe blanche avec des yeux bleus, ou même simplement des yeux bleus, car la probabilité d’obtenir des chatons sourds ou partiellement sourds est alors particulièrement élevée.
Le Persan est une race de chat difficile d’entretien, et toute personne envisageant d’adopter un représentant de cette race doit être prête à consacrer un certain temps pour en prendre soin.
De fait, son toilettage (brossage, peignage et lavage) constitue une contrainte quotidienne aussi conséquente que nécessaire, car la longueur de ses poils favorise la formation rapide de nœuds et de mèches. Il est donc nécessaire de démêler la fourrure de son chat tous les jours, et l’idéal est même de l’emmener régulièrement chez un toiletteur professionnel - la fréquence exacte dépend de chaque chat et de son mode de vie, ainsi que du niveau d’exigence de son propriétaire. Il est également conseillé de faire prendre un bain à son chat une fois par mois.
S’il a accès à l’extérieur, l’entretien de son pelage est même encore plus exigeant, puisque les feuilles et les plantes ont tôt fait de s’y accrocher, au même titre d’ailleurs que la terre ou la boue. Sa litière nécessite alors également une attention particulière, car il pourrait bien se mettre à la bouder si elle comporte trop de déchets rapportés dans son pelage ou sous ses pattes.
Par ailleurs, le Persan perd en permanence beaucoup de poils : vivre avec lui, c’est accepter ce fait ! Cependant, cette perte peut varier sensiblement en fonction de ses origines. Ce paramètre peut donc être pris en compte lors de la recherche d’un chaton Persan, en privilégiant par exemple une lignée au sein de laquelle le phénomène n’est pas trop prononcé. Quoi qu’il en soit, la perte de poils est évidemment encore plus forte pendant les périodes de mue, au printemps et en automne.
Par ailleurs, ses yeux pleurent fréquemment, et doivent donc être nettoyés régulièrement. Il est conseillé de le faire une fois par jour (ou moins s’ils ne coulent qu’assez peu), en mouillant simplement leur contour avec un gant et de l’eau tiède.
Se laisser manipuler n’est pas forcément inné pour un chat. Or, un Persan a vocation à l’être fortement, du fait de son important besoin d’entretien. Par conséquent, plus encore qu’avec les autres races, il est important de l’habituer dès son plus jeune âge à se laisser manipuler sans réagir de manière inappropriée.
L'alimentation du Persan est relativement simple, car il adore les croquettes et se montre peu difficile. Néanmoins, il faut de préférence opter pour des croquettes industrielles de qualité.
Par contre, du fait de son faible niveau d’activité, c’est une race de chats prédisposée à l'obésité. Il convient donc d’être attentif à la quantité journalière distribuée pour éviter tout risque de surpoids ou obésité du chat. C’est particulièrement vrai s’il est âgé (et donc moins actif) et/ou s'il a été stérilisé (quelle que soit sa race, un chat stérilisé est davantage enclin à prendre du poids).
La palette de prix pour adopter un chaton Persan est particulièrement étendue, puisqu’elle s’étale entre 400 et 2500 euros. Le sexe du chaton influe sur son prix, puisqu’une femelle coûte sensiblement plus cher qu’un mâle. La robe, mais surtout le pedigree et les titres des parents, ont également une influence déterminante.
De manière générale, les chatons coûtant entre 400 et 600 euros sont issus d’élevages amateurs ou non déclarés, donc vendus par des particuliers. Ils peuvent aussi être issus d’élevages déclarés produisant des chatons en grande quantité. Il convient d’être particulièrement vigilant dans ces cas-là, car il est fréquent que les chatons n’aient pas subi de test ADN, par exemple contre le PKD (Polykystose Rénale type Dominant). En outre, ces chatons sont souvent vendus sans enregistrement au LOOF, c’est-à-dire sans pedigree : il ne s’agit pas de chatons de pure race, mais de chatons « de type Persan ».
Les chatons vendus entre 600 à 1400 euros sont en général issus d’élevages officiels : ils sont conformes au standard de la race et ont été testés (ainsi que leurs parents, avant même la reproduction) pour les maladies génétiques les plus courantes.
Enfin, les prix supérieurs à 1400 euros concernent des chatons issus d’excellentes lignées et destinés à la reproduction. Ils concernent donc avant tout les éleveurs. D’ailleurs, un certain nombre de ces chats sont achetés à l’étranger, ce qui implique d’importants frais de rapatriement. Ces dépenses conséquentes engagées pour l’achat des parents expliquent en partie pourquoi les prix des chatons auxquels ils donnent naissance sont assez élevés, quand bien même ils sont simplement destinés à la compagnie.
Par ailleurs, au-delà du seul coût d’acquisition, toute personne envisageant l’adoption d’un Persan doit également avoir en tête que cette race s’avère à l’usage nettement plus coûteuse que les autres. Cela est lié notamment à son important besoin d’entretien ainsi qu’à sa santé fragile.
bonjour moi depuis toute petite j ai des persans dans ma vie la j ai deux persans un colour point et un bi color deux amours je trouve ces chats d un calme d une beautée et d une prestence extra ordinaire i love les persans
J ai un chat persan noir de 1 an 9 mois je le brosse tout les jours et il n a pas de noeud
donc pas besoin de lui faire de bain.
il se lave seul lui aussi se comporte des fois comme un ptit chien pour me dire qu il veux jouer
J' ai un persan créme de un an et demi , c' est un amour de chat , je me demande méme parfois si se n 'ai pas un chien !!! toujours avec moi et me fait savoir quand il veut jouer!!!
Le toilettage impératif si vous ne voulais pas retrouver une boule de noeud qu' il faudras rasé !!!
Moi aussi je suis tombée amoureuse de ses petites boules de poils,je suis en Chatterie,je possède 4 femelles dont 3 sont pédigrées et mes amis on pris le male qui est ROUX car lui adore les chat roux et il est tombé amoureux de GAVROCHE
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