Le chat est un animal plutôt robuste et a une longue espérance de vie pour un animal de compagnie, mais il n'en demeure pas moins susceptible de développer diverses maladies plus ou moins graves. La péritonite infectieuse féline (PIF) est l'une d'entre elle, et est tout particulièrement redoutée des maîtres et des vétérinaires, car très grave. Il est donc utile d'apprendre à la reconnaître, voire à la prévenir.
Comment la PIF se transmet-elle, et quels en sont les symptômes ? Certains chats sont-ils davantage à risque ? Existe-t-il des moyens efficaces pour la prévenir, par exemple un vaccin ?
La péritonite infectieuse féline, aussi appelée couramment PIF en abrégé, est une grave maladie d'origine virale qui touche uniquement les félins, et notamment les chats - en particulier ceux qui vivent en collectivité. Elle est presque toujours mortelle en quelques jours à semaines, et il n'existe à ce jour aucun traitement permettant d'en guérir.
Son nom vient du fait que le virus qui en est à l'origine loge dans les intestins - notamment dans le côlon - et provoque entre autres des symptômes digestifs. En effet, la péritonite désigne une inflammation aigüe du péritoine, la fine membrane qui recouvre les organes dans l'abdomen.
La péritonite infectieuse féline fait partie des vices rédhibitoires lors de l'achat d'un chat en France. Autrement dit, si ce dernier développe cette maladie peu après l'adoption (en l'occurrence sous un délai de 21 jours, dans le cas de la PIF), l'acheteur peut exiger le remboursement de tout ou partie du prix d'achat.
La péritonite infectieuse est causée par le coronavirus félin. Il s'agit d'un virus de la même famille que le SARS-CoV-2, responsable du Covid-19, mais qui ne peut pas infecter l'humain : il ne touche que les félidés - notamment les chats.
Il est assez répandu au sein de la gent féline, puisqu'environ 5% des chats en seraient porteurs. Cela étant, il reste le plus souvent bénin, se logeant dans le système digestif et ne causant que de légers problèmes digestifs - voire aucun symptôme du tout. C'est ce que l'on appelle la forme digestive, ou forme entérique.
Il arrive toutefois dans certains cas qu'il devienne pathogène et attaque violemment l'organisme, après une phase asymptomatique plus ou moins longue. Il cause alors une péritonite infectieuse féline (PIF). Cela se produit le plus souvent à la suite d'un évènement source de stress pour le chat : un changement de maître, un déménagement, l'arrivée d'un nouvel animal humain dans le foyer, le décès d'un proche, un abandon... L'âge semble également un facteur de risque, dans la mesure où ce sont surtout des individus très jeunes (moins de 2 ans) ou très âgés (plus de 10 ans) qui sont touchés.
Entre 5 et 12% des chats porteurs du coronavirus félin finiraient par développer une PIF, d'après une étude intitulée « A study of naturally occurring feline coronavirus infections in kittens » et parue en 1992 dans la revue Veterinary Record.
Le virus responsable de la PIF se transmet facilement entre chats. La transmission se fait surtout par voie oronasale, c'est-à-dire qu'il pénètre dans l'organisme par le nez ou la bouche. Le plus souvent, elle a lieu au contact de la salive ou des excréments d'un congénère porteur. Toutefois, contrairement à ce que l'on pourrait croire, les chats malades n'excrètent pas le virus dans leur environnement : ce sont uniquement les asymptomatiques qui sont contagieux.
Le coronavirus félin est plutôt résistant dans l'environnement : il peut survivre près de 2 mois, et surtout contaminer un individu jusqu'à 2 à 3 semaines après avoir été excrété. C'est en tout cas ce qu'il ressort d'une étude intitulée « Feline infectious peritonitis: Epidemiology, pathogenesis and symptoms » et publiée en 2005 dans la revue scientifique Le Point Vétérinaire.
Par ailleurs, la transmission peut aussi se faire depuis le chat domestique vers d'autres espèces de félins, que ce soit par contact direct ou indirect. Des cas ont en effet été recensés chez le chat sauvage, le chat de Geoffroy, le lion, le guépard, le tigre, ainsi que potentiellement d'autres, si l'on en croit une étude intitulée « An update on feline infectious peritonitis: diagnostics and therapeutics » et publiée en 2014 dans le Veterinary Journal.
En revanche, la PIF ne se transmet pas vers le chien ou même l'humain, puisque le coronavirus félin ne peut infecter que les félidés. Il n'existe donc aucun risque pour les autres occupants du foyer qui ne sont pas des chats. Au passage, un furet peut être atteint par la coronavirose systémique : cette affection ressemble à la PIF mais c'est une maladie distincte, causée par un autre coronavirus.
Les raisons qui font qu'une péritonite infectieuse apparaît chez un chat porteur du coronavirus félin ne sont pas connues avec précision.
Toutefois, différents facteurs de risque sont soupçonnés voire avérés :
En cas de forme entérique, c'est-à-dire tant que le coronavirus félin reste dans l'organisme sans causer une péritonite infectieuse, les symptômes sont très légers voire inexistants : on constate tout au plus une diarrhée passagère ou quelques vomissements, qui passent facilement inaperçus.
Les symptômes de la PIF sont eux bien plus visibles, mais ils restent peu spécifiques au départ. On constate le plus souvent une anorexie, un amaigrissement, une léthargie et/ou une fièvre supérieure à 40°C qui dure plusieurs jours - voire semaines - et qui ne répond pas aux antibiotiques. Puis, au fil des jours, la maladie progresse : une anémie ou une déshydratation font généralement leur apparition, et l'état général du chat se dégrade peu à peu jusqu'au décès.
Cela étant, la PIF peut prendre différentes formes en fonction du chat atteint, et les symptômes sont variables de l'une à l'autre. Ainsi, on distingue principalement deux formes : la forme humide et la forme sèche. Les deux ont toutefois en commun d'entraîner la mort de l'animal sous quelques jours à quelques semaines.
Dans le cas de la forme humide de la PIF, l'action du virus reste très localisée dans l'organisme, essentiellement au niveau de l'appareil digestif. Elle doit son nom au fait qu'elle se traduit notamment par une ascite, c'est-à-dire une présence de liquide dans l'abdomen. Celle-ci résulte d'une fuite de protéines du plasma sanguin vers les grandes cavités abdominales (thorax, abdomen et péricarde) à la suite d'une inflammation de certains vaisseaux sanguins.
En plus de l'ascite, qui est le symptôme le plus évocateur, d'autres signes cliniques sont possibles : maigreur importante, respiration difficile, tachycardie, intolérance à l'effort, hyperthermie...
La forme humide représenterait 65 à 80% des cas de PIF, d'après une étude intitulée « Clinicopathological findings and disease staging of feline infectious peritonitis: 51 cases from 2003 to 2009 in Taiwan » et publiée en 2011 dans le Journal of Feline Medicine and Surgery.
Son délai d'incubation va généralement de quelques jours à quelques semaines.
La forme sèche de la PIF est nommée ainsi parce qu'elle ne cause pas d'ascite, par opposition à la forme humide. De plus, ses symptômes sont très variables d'un chat à l'autre, car différents organes peuvent être attaqués par le virus : l'oeil, le cerveau, le rein, le foie... Elle est donc bien plus difficile à suspecter que la forme humide.
Ainsi, les symptômes potentiellement présents dépendent des organes atteints :
Par ailleurs, des symptômes plus généraux sont possibles quels que soient les organes touchés : un amaigrissement, une perte d'appétit, un abattement...
D'après diverses études (notamment celle citée précédemment), la forme sèche concernerait 20 à 25% des cas de PIF.
Son délai d'incubation est beaucoup plus long que celui de la forme humide, puisqu'il est généralement de plusieurs mois et peut aller jusqu'à un an.
Qu'il s'agisse de la forme sèche ou la forme humide, un chat atteint de PIF a une espérance de vie très réduite : le plus souvent, il décède au bout de quelques jours à quelques semaines. Il existe des cas de survie, mais ils sont rarissimes. De fait, la durée de vie à compter du diagnostic est globalement de moins de 2 mois.
La mise en place d'un traitement par un vétérinaire peut éventuellement permettre de prolonger un peu ce délai, mais il ne faut pas s'attendre à des miracles : dans l'ensemble, l'animal a peu de chances de survivre plus de quelques semaines, même s'il est pris en charge rapidement.
Généralement, on décide de l'euthanasier lorsque la maladie est tellement avancée que les médicaments ne permettent plus de soulager suffisamment ses souffrances, afin de lui éviter de continuer à souffrir inutilement.
La péritonite infectieuse est difficile à diagnostiquer, dans la mesure où ses symptômes sont variables et peu spécifiques. Par conséquent, le vétérinaire s'appuie sur différents indices (âge du chat, mode de vie, race...) ainsi que sur les résultats de divers examens pour réaliser son diagnostic.
Les principaux examens qu'il est susceptible d'effectuer sont :
En parallèle, le vétérinaire réalise un diagnostic différentiel, c'est-à-dire qu'il exclut de la liste des possibilités les autres pathologies pouvant occasionner des symptômes similaires.
Cette démarche diagnostique est à ce jour la plus sûre, mais elle ne permet pas une fiabilité à 100% du résultat. Seuls l'évolution de la maladie et des examens post-mortem permettent de déterminer avec certitude s'il s'agit d'une PIF.
La péritonite infectieuse est une maladie mortelle et incurable : quelle que soit la forme qu'elle prend, elle évolue vers la mort dans la quasi-totalité des cas, généralement en quelques jours à quelques semaines. Les cas de guérison restent exceptionnels.
Il n'existe aucun moyen de la guérir, mais le vétérinaire peut proposer la mise en place d'un traitement palliatif, qui aide le chat à moins souffrir : cortisone, antibiotiques, antalgiques, ponctions du liquide présent dans l'abdomen, etc. Ces traitements ne font toutefois que retarder l'inévitable. En fin de maladie, l'euthanasie est souvent préconisée pour épargner à l'animal des souffrances inutiles.
Par contre, lorsque le coronavirus félin reste peu agressif et cause uniquement la forme entérique (plutôt que la PIF), un traitement peut être mis en place pour faire cesser les éventuels troubles digestifs. Le vétérinaire propose alors par exemple des pansements digestifs, éventuellement des antibiotiques, une mise sous perfusion en cas de déshydratation... Cela étant, comme les symptômes restent alors légers voire inexistants, ils ne suscitent généralement pas d'inquiétude particulière : il est donc rare qu'un traitement soit effectivement mis en place, et même d'ailleurs qu'un vétérinaire soit consulté à ce stade.
Dans la mesure où la péritonite infectieuse est quasiment toujours mortelle et où il n'existe à ce jour aucun traitement satisfaisant, la seule arme dont on dispose face à cette terrible maladie est la prévention.
Il n'existe pas en Europe de vaccin contre la péritonite infectieuse féline.
Les choses en vont autrement aux États-Unis, puisqu'un vaccin y a été mis au point. Il s'administre par voie intranasale, sur des chats âgés d'au moins 4 mois et non porteurs du coronavirus félin. Son efficacité et son innocuité ne font toutefois pas l'unanimité, ce qui explique qu'il ne soit encore que peu utilisé ailleurs dans le monde.
Dans les pays où aucun vaccin n'existe, la seule possibilité pour prévenir la PIF est d'adopter des mesures d'hygiène permettant de limiter la propagation du coronavirus d'un éventuel chat porteur vers ses congénères - notamment s'ils sont très jeunes.
Protéger les chatons est en effet crucial : compte tenu de leur âge et de leurs défenses immunitaires encore peu performantes, ils sont davantage susceptibles de développer une PIF s'ils sont infectés par le coronavirus félin.
Les élevages sont donc des structures particulièrement à risque, et une grande vigilance devrait donc y être de mise. Ainsi, un éleveur sérieux devrait :
Cela dit, toutes ces mesures ne sont pas toujours applicables : le dispositif doit être adapté à chaque établissement et à sa situation particulière. Dans tous les cas, il est crucial d'avoir en tête le risque que représente le coronavirus félin.
La péritonite infectieuse féline est une terrible maladie qui s'avère presque toujours mortelle et contre laquelle il n'existe à ce jour aucun traitement curatif. Des soins peuvent certes être apportés, mais ils ne font que soulager un peu les souffrances du chat malade et retarder l'inéluctable.
Il est donc important de miser sur la prévention - mais dans le cas de chats vivant en groupe, cela n'a rien d'évident...
Bonjour ..j'ai moi meme perdu un chat de 11 mois de PIF...venant d'un élevage...il a eu la diarrhée la même semaine de son arrivée à la maison puis 3 mois après.. un peu plus longtemps puis 4 mois après malade avec tous les symptômes de la PIF....EUTHANASIÉ 3 semaine plus tard....l'éleveur dégage toute responsabilité...sauf que la il reconnaît comme beaucoup d'éleveurs sur Facebook qu' un élevage sans coronavirus n'existe pas...la mutation est autre chose surtout après délai vice rédhibitoire...c'est tout de même un terrain qui favorise la PIF..C est inadmissible...de protéger les éleveurs de cette façon...la loi devrait changer...cordialement Mlle EVRARD Patricia
Bonjour
Je viens de voir cet article concernant la PIF...J'ai une chatte qui vient de décéder d'une pif...
Elle venait d'un élevage 11 mois seulement...elle avait eu la semaine de son arrivée chez moi la diarrhée...soignée par mon vétérinaire...puis 4 mois plus tard rediarrheees...traiter encore par mon vétérinaire..
C'est à ce moment là que le vétérinaire a fait des recherches dans les selles mais revenus négatives je ne me suis pas inquiétée et le vétérinaire non plus.
4 mois plus tard altération de son état général accompagné de plusieurs signes cliniques et bilan inquiétant...bref diagnostic de PIF donné par le vétérinaire...eleveur prevenu...qui se dit non responsable...
J'ai donc envoyé un courrier la DDPP en dénonçant les faits...et compte écrire au ministre de l'agriculture..
Si l'on m'avait averti de cette maladie mortelle quand elle se déclare jamais je n'aurai acheté ce chaton...on s'attache et tout s'arrête...c'est insupportable...
Une pétition devrait être faite et envoyé au ministre...
Certains éleveurs pour cause de certaines pratiques contribuent très largement à favoriser la PIF sur les chatons.
Une concentration d’animaux avec une litière commune, des chats qui entrent et sortent de chatterie en chatterie pour les saillies, des chats d’exposition qui côtoient d’autres animaux sur-contaminés. Certains éleveurs sont très clairs, ils ne font entrer et sortir aucun mâle et aucune femelle de leur chatterie. Ils ont leurs reproducteurs et n’en font pas venir d’ailleurs. Pour le fait de stériliser un petit chaton à 3 mois alors qu’il vient d’être séparé de ses frères et soeur et en prime l’envoyer dans un nouveau foyer à peine cicatrisé n’optimise vraiment pas les chances de survie quand le chaton provient d’un élevage ou le taux de Coronavirus est trop élevé.
Certains éleveurs en sont conscient et font leur travail consciencieusement même si ces derniers ne sont pas à l’abris bien évidemment et d’autres qui se sont improvisé éleveurs vendent du chat comme on pourrait vendre des gaufres sur la plage. Quand le chat est réglé dans son intégralité ce n’est plus leur problème…
Quand vous parlez de PIF sur Internet (forums ou autres) ils deviennent limite menaçant et insultant et ils iraient jusqu’à prétendre que votre chaton à attrapé ça chez vous avec peut être des mauvaise croquettes ou bien ceci et cela. En gros eux c’est super clean par comme vous hummm… ils ont un doute !
Essayer de concentrer des humains ou n’importe quel animal dans un lieux réduit en sur nombre, laisser les uriner et faire leurs besoins au même endroit… ça n’a rien à voir certes mais les lois de la nature sont ainsi faites, la nature régule la surpopulation par la maladie !
Nous avons acheté un chaton atteint d’une PIF.
Il nous avait été vendu stérilisé, la plaie n’était même pas refermée, notre petit animal était osseux, choqué et complètement traumatisé lorsqu’il nous à été remis.
Nous pensions qu’il avait mal vécu la stérilisation (femelle) donc nous l’avons bien nourri (poulet, dinde, croquette croissance spécial Maine Coon, vitamine pour le booster..)
Le chaton était à la maison depuis 1 semaine qu’il était déjà chez le vétérinaire, il avait en prime un verre solitaire dans les intestins.
3 jours à la maison les signes de la PIF étaient déjà annoncés avec de fortes diarrhées et quelques semaine après des hurlements, du sang dans les selles puis…. la mort.
L’éleveur bien entendu tente de minimiser l’affaire, c’est de notre faute, nous ne sommes pas dignes et inaptes à nous occuper d’un animal sauf que nos autres maine Coon (2 mâles) ont tout les deux 11 ans mais ils ne proviennent pas d ‘une chatterie…
Il y’a éleveur et vendeur de chats… 2 métiers bien différents !
Apres ils nous causent d’études Américaines, mettent des liens sur leur site vers des sites anonymes causant de la maladie mais les sources de ses sites soit disant informatifs sont fait en fait par un éleveur, les textes sont tronqués et l’info qui les dérange supprimée.
Pour avoir des sources fiables ne pas s’en référer à des sites d ‘éleveurs mais à des sites vétérinaires ;-)
Nous ne sommes pas des pigeons ou des crétins pour gober sans aucune réflexion individuelle !
A bon entendeur…
Très bon article,objectif et clair ...
Dommage que les éleveurs ne se soutiennent pas
Merci encore
Notre chatte Isys est morte d'une PIF il y a quelques jours. Isys faisait partie de notre famille depuis moins d'un an. Elle était magnifique, joueuse, câline et avait pris sa place au milieu de nos enfants.
La voyant fatiguée, sans appétit, nous avons consulté le vétérinaire dont le verdict a été sans appel. La chatterie d'´H...... (62)n'a rien voulu savoir.que peut on faire?que de rester avec notre peine. Si d'autres personnes ont eu les mêmes problèmes avec des chats en provenance de cette chatterie, car d'après les échos ils auraient régulièrement ce type de problème , merci de nous contacter.
Vous devriez mieux vous renseigner sur le sujet, vous vous rendrez compte que votre question est hors sujet car il n existe pas de test pif mais seulement un test coronavirus. Hors 90% des chats sont positifs a ce test, puisque le chat est un porteur sain de coronavirus... la famille des coronavirus est large, et la pif en fait partie, mais a ce jour aucun test pouvant la deceler n a ete trouve . Vous pensezbien que si nous avions ce genre de test disponible, evidemment ce serait une grande avancee pr l elevage ,,
aujourd hui la pif est encore tres mal connue malheureusement, et la recherche tourne en rond..
il y a une solution pour etre sur de ne jamais perdre un chat de la pif : ne pas acheter de chat!
cordialement
Mon chat a eu cette maladie, il faut savoir que malheureusement avec celle-ci il n'y a rien à faire, et surtout elle se développe très vite. Conseils: s'il est possible, emmener votre chat âgé faire des contrôles (dans des écoles vétérinaires c'est moins cher), le mien avait 17 ans. Je l'ai d'abord emmener chez l'école vétérinaire parce qu'il avait dû se battre avec le deuxième, il avait une plaie, c'est là que le médecin (qui en a profiter pour réaliser d'autres test au même prix) a aperçu par l'échographie que quelques choses ne tournait pas rond dans son ventre. Six jours après nous devions le réammener pour voir l'évolution de son "bobo" qui cicatriser bien... et puis elle a fait des examens plus complets par rapport à ce qu'elle avait pu apercevoir dans son ventre... Quatre jours après le verdict tombé...maladie de la pif. En dix jours maximum deux semaines le chat peut être parti alors dès que vous savez avec certitude qu'il a cette maladie, prenez rendez vous pour l'euthanasier. Ce que j'ai fait car je ne voulais pas qu'il souffre, dans les derniers jours la vétérinaire avait donné des cachets anti douleur, le jour du rendez vous arrivé, il était temps...il vaut mieux que l'animal parte sans trop de douleur alors dès que vous savez qu'il a cette maladie n'attendez pas trop...pour lui.
pourquoi les éleveurs continuent de vendre des chatons sans faire le teste du coronavirus sachant qu un des chatons de la portée précédente en est atteind?